Imagines/Gifs/Réaction vikings

°Imagine Hvitserk°

Hvitserk vous avait énervé. Il ne vous laissait pas participer au raid et vous étiez parti en trombe. Assis dans le froid, vous vous asseyez sur le sable et regardiez la mer. Vous ne compreniez pas pourquoi il ne vous laissait pas partir avec lui. Hvitserk était peut-être votre petit ami, mais il ne contrôlait rien de ce que vous faisiez. Vous n'étiez pas d'humeur à ce qu'on vous dise quoi faire ni où aller. En enfonçant votre poignard profondément dans le sable et en le retirant continuellement, vous avez libéré votre colère contre lui. Vous avez entendu le craquement du sable sous vos pieds derrière vous. En vous retournant, vous soupirer et vous vous retournez. C'était Hvitserk.

"Allez. Ne fais pas ça." Hvitserk a ri et vous avez secoué la tête.

"Tu es un tel enfant."

"Tu as dit que tu aimais ça chez moi." Il s'est assis près de toi et tu t'es éloigné. Hvitserk s'est rapproché de vous alors que vous continuiez à vous éloigner.

« Hvitserk ! » Vous êtes-vous exclamé. "Pourquoi es-tu si insupportablement ennuyeux ?" Hvitserk a arrêté de se rapprocher de vous et s'est assis en silence. Face à la mer.

"Je suis désolé T/p", dit doucement Hvitserk. Vous êtes resté silencieux pendant un moment, déplaçant votre doigt dans le sable et le laissant tomber entre vos mains. Il faisait froid alors que le vent tournait autour de vous et vous commenciez à frissonner. Vous claquez légèrement des dents. Hvitserk vous a remarqué et vous a regardé, ayant presque envie de vous entourer de ses bras. Tout ce qu'il voulait, c'était t'envelopper et te serrer fort dans ses bras. Mais il savait que tu te mettrais en colère. À ce stade, vous ne vous en seriez probablement pas soucié. Tu avais trop froid aussi et tu t'en fous du fait qu'Hvitserk t'énerve.

Mais tu n’allais pas non plus partir parce que tu voulais rester forte.

"Tu es silencieux. C'est bizarre." Tu l'as dit juste assez fort.

"Je ne savais pas si tu voulais que je te parle", dit tristement Hvitserk.

"Oui. Ne dis rien de stupide." Vous avez ri et Hvitserk a souri.

"Alors je ne pourrai rien dire." Hvitserk plaisante mais il avait l'air triste.

"Tu peux y aller."

Tu as marmonné. Même si on pouvait voir à quel point il avait le cœur brisé. Hvitserk est allé se lever et vous l'avez regardé. Il l'a remarqué et a arrêté de bouger avant de se rapprocher à nouveau de vous. Hvitserk savait que vous ne voudriez pas admettre que vous le vouliez ici, alors il a simplement ravalé sa fierté.

"Je t'aime", murmura Hvitserk près de ton oreille, en passant son bras autour de toi.

"Je suppose que je t'aime aussi." Vous avez accepté et Hvitserk a souri et à embrasser ta joue.

"Têtu comme une chèvre, pourrais-je ajouter." Hvitserk a ri et vous avez roulé des yeux. Il s'est avancé et vous a embrassé sur les lèvres.

"Tu viens de me traiter de putain de chèvre et maintenant tu m'embrasses." Rétorquez-vous en repoussant Hvitserk.

"Oh tais-toi Chèvre." Il a ri avant de t'embrasser à nouveau.

"Faire chier." Vous avez marmonné et Hvitserk a levé les yeux au ciel.

"Très bien. Reste au froid." Hvitserk se leva.

"Je n'ai pas froid !" Tu as crié en frissonnant. Mais tu as refusé d’admettre que tu avais tort.

"Oui, c'est vrai", argumenta Hvitserk.

"Non, je n'ai pas froid."

"Si tu à froid."

"Non."

"Si."

"Non."

"Si."

"Non."

"Si."

"HVITSERK ! Bon sang !" Vous avez crié de colère et Hvitserk s'est contenté de rire. Sachant que tu ne le pensais pas.

"Allez. Blottis-toi contre moi." Il s'est moqué et vous lui avez lancé un regard renfrogné. Hvitserk était sur le point de partir lorsque vous avez posé la main sur sa jambe. Il s'est assis à côté de toi sans un mot et a mis ses bras autour de toi.

"Je t'aime Hvitserk." Tu as chuchoté.

"Je connais l'amour." Il a souri et tu as posé ta tête sur sa poitrine.

680 mots.