ANGELA

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J'ai décidé de déménager.

Je pense que changer d'air me fera le plus grand bien, alors j'ai opté pour un village bien éloigné mais dont la paix règne à travers la végétation quel propose. En Holland, dans le Michigan tout semble simple, alors j'ai décidé de m'y installer. Mes proches n'ont bien sûr pas approuvé ce choix malgré le faite que ma vie est compliquée en ce moment. Mais j'ai pris cette décision égoïstement, et je ne le regrette pas.
Ma maison se trouve plutôt proche du centre-ville mais assez éloigné pour ne pas craindre les nuisances sonores de celle-ci. Au loin, je vis par la vitre du lieu auquel j'aspire, un camion blanc se dirigeant devant chez moi, ça doit sûrement être les déménageurs. Je descendis les escalier pour les rejoindre.
Au moment où j'ouvris la porte, l'un d'entre eux s'apprêtait à toquer. Je souris et il me dit :

— C'est bien vous Madame Miller ? Nous sommes venus vous apporter vos meubles.

— Oui c'est moi ! Bonjour allez-y entrer je vous en prie.

Il commencèrent à entrer les meubles les plus imposant dans le salon puis les moins lourds. Il m'aidèrent à les ranger selon ma volonté. Suite à cela, avant de partir il me demande de signer un papier.

— N'hésitez pas à faire part de nos services autour de vous Madame, et bonne journée à vous.

— Merci, bonne journée.

Et je referme la porte derrière moi. Seule, chez moi, je me dis que reprendre ma vie en main après ça...

Alors pour oublier, je décide d'aller prendre une douche pour me préparer à sortir.

« — Tout est de ma faute.

Je n'arrête pas de pleurer, assis seul, à l'hôpital. Mes sœurs assise au loin, ne viennent pas me consolé, mais bon, ça ne m'étonne pas. Je stressais et espérais qu'il soit toujours en vie. J'entendis les portes du bloc s'ouvrir, en levant la tête je vis le docteur en sortir. Me dirigeant vers lui, le docteur me regarde avec une expression qui augmenta mes inquiétudes. Je pris sur moi pour lui poser la questions.

— Alors docteur, vous avez pu faire quelque chose ?

— Il est actuellement dans le coma, j'ai essayer de faire ce que j'ai pu pour le maintenir éveillé le plus de longtemps possible. Les brûlures de son corps sont très graves ce qui rend, pour son système immunitaire assez compliqué à garder le corps conscient. Si d'ici deux semaines Monsieur Miller n'est pas réveillé de son coma...

Je prie le temps d'intégrer l'information mais je n'arrive pas à m'en rendre compte
Tous ça c'était à cause de moi.... Si seulement...

— Bien sûr je vous autorise à aller vous rendre dans sa chambre que nous lui avons attribuer, si je ne me trompe pas, c'est la chambre 216.

Je reste planter la , debout devant les portes du bloc.

Elle ne m'a pas adressé la parole et s'est directement diriger vers la chambre de papa. »

Je prie un jeans, un haut pour partir et pris ma liste de courses. Je vis, d'après mon téléphone que le supermarché se situe à 10 min d'ici à pied, alors je sorti de chez moi, j'en profiterai pour voir la ville.
Sur mon chemin je croise une femme assez âgée accompagné de son chien.
Elle me salua.

— Bonjour Mademoiselle, c'est vous la nouvelle du quartier, bienvenue à vous. Je suis Gianna et voici Gipsy.

— Ooh oui Bonjour, c'est cela. Je suis arriver il y a peu. Je m'appelle Angela Miller. Excusez moi savez vous où se trouve le supermarché de la ville ?

— Mmh oui, c'est dans cette direction, vous aurez 8 min de marche et vous l'apercevrais au loin, vous ne le raterez pas ! Sinon le quartier vous plaît ? Ont dit de nous que nous sommes aimable et chaleureux mais quand on y habite on comprend rapidement que tout ce sais dans ce quartier. Les rumerus vont vite, si j'ai su qu'il avait une nouvelle habitante, cela doit être le cas pour tout le quartier.

— Ah d'accord, pour ma part, je ne viens juste pour me ressourcer donc bon. Merci de m'en informer dis-je d'un ton déconcerté.

— Oui je comprend, bon bah Gipsy et moi vous disons bonne journée. Si vous avez besoin d'un renseignement, je peux vous transmettre mon numéro si vous le voulez bien.

Je sorti alors mon cellulaire et le lui tendis. Elle déposa alors Gipsy à ses pieds pour lui permettre de prendre mon téléphone. En attendant je vis quel avais l'air mal à l'aise, je culpabilisai, elle a sûrement voulu créer un lien avec moi à travers ce qu'elle prend du plaisir à faire.
Gianna me rendis mon téléphone après avoir lever sa tête en ma direction et me sourie d'une manière des plus sincère. Je sentais qu'elle chercher à ce que j'ai déjà un repère, et que j'ai au moins quelqu'un sur qui me reposer. Je n'y avais pas songer, mais ce n'ai rien je me rattraperai la prochaine fois.

— Voilà dit-elle songeuse en me rendant mon portable.

—Merci, passer une bonne fin de journée dis-je en arborant un grand sourire communicatif pour au moins lui faire ressentir que cette échange était agréable.

— À vous aussi Mademoiselle dit Gianna en me rendant l'appareil.

Et je vis qu'elle se dirigea vers une maison bleue à deux pâté de maison de la mienne.

Arriver au supermarché je pris un cadis et je repensai à ce que Gianna m'a dit. Cette ville va plutôt m'attirer des problèmes au lieu d'en régler dis-je en marmonnant.
En rentrant, je vis tout les regards en ma direction mais j'en fais abstraction, En premier lieu je vais au rayon féculents pour prendre un max de spaghettis ; le rayon où se trouve les viandes est rempli d'individus ressemblant à des serials killers ; au rayon produits sucrés, ma carte bleu aurais le diabète s'il elle pouvais communiquer avec moi et je finis par le rayon des fruits et légumes pour ne pas manquer de « manger 5 fruits et légumes par jour » et le rayon des boissons pour commencer un bon matin avec un bon jus d'orange pressé. Par habitude je me dirige vers les caisse automatique, car d'après ma théorie les caissière sont des sorcières. J'ai le sentiment quel lance des sort rien quand te posant une questions ou par une affirmations pour connaître une infos sur toi et quel y arrive toujours, comme un sort de vérité. Une fois une vieille après avoir payer, en est ressortit bredouille car tout les précédent clients qui ne savait très peu de choses sur elle par sa réputation de ne jamais parler à personne, la caissière numéro 6 a révéler au yeux de tous son passer rien qu'avec cette affirmation «  ça ce voit que vous avez l'air d'aimer les cacahuètes ». Depuis je n'est plus jamais revue madame Einsbergerf. Bref je pris mes sacs et je repris  le chemin inverse. En m'arrêtant un moment je vis une maison qui a l'air abandonné et délabré mais qui m'a l'air habiter. Isolé de toute les autres maisons, je me demande bien qui habite ici, sûrement des junkies. Je repris mon chemin. Arriver, je range mes courses et tombe dans mes draps avant de m'endormir.

WHEREASOù les histoires vivent. Découvrez maintenant