MATTHEW

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«  — Tu sais je t'oblige à rien, je te l'ai déjà dis, on vole pour notre survie et c'est le seul moyen qu'il y a pour gagner notre vie, mais disons qu'on l'a joue à notre sauce. Mais si tu ne veux pas c'est pas grave on le fera sans toi dis Aaron.

Ils attendaient tous une réponse de ma part, dois-je céder comme je l'ai toujours fais, pour me faire accepter ? Je n'aime pas faire cela au gens du quartier qui plus ai celui des plus aisés car un jour on se fera choper.

— Bon d'accord, mais c'est la dernière fois.

— Ouais mec tu l'as déjà dis celle là dis Micheal.

Ils préparèrent leurs sacs et entrèrent dans la gova. Nous sommes cinq, Aaron, Will, Tyler et Micheal.

— Bon je vous rappelle le plan, Michael tu nous attend dans la gova, Will, Tyler vous faites les guets et quant à Matt et moi nous infiltrons la maison des Johnson.

Nous écoutons attentivement, tandis que Michael se fourre le doigt dans son nez en ayant l'air de ne rien écoutez comme d'habitude.

— Puis le coffre-fort trouver, Matt tu utilise tes doigts magique pour le déchiffrer et puis on se tire en toute discrétion car la mission ne sera pas abouti tant que l'argent n'est pas à l'abri.

— Oui oui c'est bon, c'est pas la première fois l'on fais ça. T'inquiète, tous va très bien se passer rétorque Micheal.

— Ouais dit Aaron, d'un ton suspicieux.

La mission se passer comme des roulettes, mais la police a débarquer

Nous nous sommes dépêcher, à notre sorti

Ni Will ;
Tyler ;
... ou encore Micheal était dehors.
À la place une tonne de voiture de police qui encercler la maison dont nous sortons. »

— Orhh...bordel, pourquoi tu veut plus démarrer ?

Ça fais deux heures, que j'essaie de démarrer ma voiture, mais j'ai plutôt l'impression qu'il veut qu'on se fight, de toute manière j'avais déjà prévu d'aller voir le garagiste du quartier, j'irais demain, trop la flemme aujourd'hui.
Je dois me rendre au travail, sans voiture pour m'y rendre ça ne vas être trop compliquer alors je pris ma douche avant d'enfiler ma tenue de travail.

Je taff dans une star-up créer par d'anciennes connaissances de mon père. Je ne fais que rester des heures devant un ordinateur à bosser sur des projets à la con, le dernier projet porter sur la vente de produits écologiques pour essayer de concurrencer des entreprises comme Body Shop. Mais bon je doit faire ce pourquoi l'on me paye alors j'ai du diffuser une annonce sur les réseaux sociaux ; embaucher des gamins pour diffuser l'info avec des flyers distribuer dans les rues car mon job c'est de m'occuper de l'image et de la communications de l'entreprise.
You&co n'a même pas pu former un fosser avec son idées de merde, elle se rapproche plus de la faillite que du succès. Malgré la pitié que je ressent pour elles, toutes les idées que j'ai proposer pour rendre plus durable cette merde ont été rejeter. Eux qui à travers leur sites ne font que prôner « l'écoute et la cohésion de groupe » terme que j'ai du obligatoirement inscrire pour garder mon poste ; c'est plutôt l'hypocrisie, le mensonge et la compétition qui font largement concurrence à ses foutus convictions que font croire ses sociétés surtout celle ou je bosse.
Comme c'est une entreprise qui vient de commencer le salaire ne me permet pas d'assouvir mes besoins primaire alors à côté, je me bats clandestinement je me créer seul des complément salaires et puis taper sur des gens me permets d'extérioriser ma colère sur autres choses que je sur les collègues.
Je pris donc mes clés avant de sortir de chez moi et me rendre au boulot.

                                          ****

Sur le chemin, je ne cesse de repensai à l'époque où aucun problème ne pouvais d'atteindre, avec mes amis, toujours à faire et dire des choses insolites. Je ne sais pas s'il mérite que j'éprouve de la nostalgie à leur égard, après les deux ans de taule que je me suis taper a cause d'eux.
Il ne m'ont même pas rendu visite.
J'étais seule à devoir assumer mes actes alors que je venais d'avoir 18 ans. Être enfermer avec des individus qui ont fais bien pire que cambrioler des riches, c'est comme grandir dans un zoo avec que des animaux sauvages qui n'attendent que le moment où tu n'est pas sur tes gardes pour te dévorer. J'ai était le seul à être sanctionné, ils ont démenti à la police, m'ont fait porter le chapeau sans une once d'humilité dans leurs regards. Alors qu'au début je ne voulais même pas être amis avec eux. C'est Georgia, la belle brune aux cheveux long et au yeux verts, celle qui m'a fais découvrir ces garçons.
Dans mes pensés, je me suis rendus compte que j'étais face au bâtiment , alors je repris le contrôle de mon esprit avant de rentrer dans le tourniquet, ce truc de merde ou je me suis déjà retrouver 2h coincé juste parce qu'une femme avec son bébé dans la poussette de faisais que râler et ne comprenais pas qu'il fallait une certaine distance pour que celui- ci avance de son plein gré. Et par sa parole que je ne qualifierai pas de agréable, s'est brouiller avec tout le monde, on entendait même plus le bébé chialer.

En traversant les couloirs des locaux je croise, Rusty, celui qui taff aussi en communication avec moi et qui est en recherche constante d'attention ce que je ne peux évidemment pas lui apporter car je ne suis pas sa daronne. Je vis qu'il se rapprocha de moi pour entamer la discussion.

— Coucou Matt, mon pote. Alors ce week-end tu as profiter, moi je suis aller striptclub de la rue, je peux te dire que les gonzesse ont crier mon nom toute la soirée dit-il tout émoustillé.

— D'accord Rusty, t'a terminé j'ai autre choses à faire la, comme... faire des choses.

— Ouais c'est ce que je vois dit-il d'un ton peu convaincu.

Je m'éloigner de lui peu à peu avant que son parfum pour faire « tomber les filles » ne m'évanouissent aussi.
Je me mis alors direct à mon poste après avoir saluer les guignols qui me servent de collègues pour me donner bonne impression.

                                         ****

— Enfîn, j'ai vraiment cru que cette journée ne se finirai jamais. Je pris ma valise avant de sortir le premier par le tourniquet afin d'éviter le plus possible de contact humain.

Sur le chemin du retour, je décide de passer par le parc du quartier. Des enfants couraient après un ballon, la belle époque, celle où tu ne te soucier de rien. Puis je vis au loin une femme que je n'avais jamais vu auparavant, ce qui est sûr c'est que si cela faisait longtemps qu'elle habité ici, je ne sais pas comment j'ai fais pour la rater. Elle avait un afro et des yeux clairs. Elle avait l'air de se réveiller.
Pour éviter qu'elle suspecte que je la fixe, je retourner sur mes pas pour passer devant mon fast-food fav avant de rentrer chez moi et me taper une séries.

WHEREASOù les histoires vivent. Découvrez maintenant