Dans le creux de l'ombre et dans la clarté du jour,
Dans le souffle du vent et dans le murmure de l'amour,
Il y a cette étreinte, cette douce caresse de l'espoir,
Qui tisse sa toile autour de nos cœurs, les plus noirs.
Quand les ténèbres menacent de tout engloutir,
Quand la maladie fait vaciller nos désirs,
Quand la mort vient nous prendre ceux que l'on chérit,
Dans les profondeurs de l'âme, un feu refait jaillir.
C'est cet espoir, tel un phare dans la nuit,
Qui guide nos pas, qui réchauffe nos vies,
C'est cette lumière, cette flamme qui brille,
Dans les abysses les plus sombres, elle scintille.
Dans les méandres de l'amour, où les cœurs se brisent,
Où les serments s'évanouissent, où les larmes glissent,
Il reste cette promesse, cette douce mélodie,
Que l'amour vrai, immuable, toujours réjouit.
Et quand vient le temps des adieux, des séparations,
Quand le vide envahit nos conversations,
Dans le silence, une présence subsiste,
Celle des âmes aimées, éternellement assiste.
Les ruptures, les chagrins, les tourments,
Sont autant de chemins vers le firmament,
Où l'étoile de l'espoir brille sans fin,
Où la douceur de la vie retrouve enfin.
Alors que le temps s'écoule, inexorablement,
Souviens-toi toujours, même dans les tourments,
Que dans chaque épreuve, chaque obscurité,
L'espoir est là, fidèle, à jamais rallumé.
Dans le ballet des saisons, dans l'éclat des rêves,
Dans les doux souvenirs que le vent soulève,
Il y a cette force, cette foi qui nous élève,
Au-dessus des peines, des peurs qui nous enlèvent.
Regarde, dans le miroir de chaque aube naissante,
L'espoir se reflète, vibrant, étincelant,
Il est le pilier qui soutient nos pas hésitants,
Le chant qui berce nos âmes tourmentées, vibrantes.
Ainsi, que cette lettre soit comme une bouffée d'air,
Un baume pour l'âme, une douce lumière,
Pour chaque cœur brisé, chaque rêve éphémère,
L'espoir demeure, immuable, pour toujours nous éclairer.