Let's Live Hidden

1.Nina

-Tu n'avais pas à revenir, repart au Nevadas.

-Papa je sait que tu es-

Sans laisser le temps à Alex de finir sa phrase Éric démarre en trombe, je tourne mon visage vert le siens, toute les émotions passe à travers ses pupilles, colère, désespoir, tristesse, dégoût.

Depuis quelques semaines, nous avons augmenter les trajets en voiture, notre rituel, notre cocon, parfois nous parlons de sujet sérieux, parfois non. Mais c'était un besoins vital.

Le médecin nous a informé qu'il ne lui restait pas longtemps à vivre 1 mois au maximum, 1 semaine au minimum...

Partir en voiture alors que sa maladie et entrain de l'avaler n'est surement pas une bonne idée mais ça l'aide à s'échapper à se sentir mieux et c'est tout de qui compte à mes yeux.

- C'est toi qui lui as dit, s'exprime t'il la gorge nouet

-Non, je t'en ai fait la promesse et de toute manière je n'ai aucun moyen de le contacter.

-C'est surement Madeline alors.

-Il y a des fortes chances, elle s'inquiète énormément pour toi, signalais je

-Je n'aime pas qu'on s'inquiète pour moi.

-Pourtant tout le monde le fait car personne ne veut te perdre papa...

-Pourquoi diable la femme de mon frère s'inquiète plus que celui ci

-Parce que Rick n'est pas expressif, je ... je l'ai vu pleurer dans ta chambre l'autre jours, pendant que tu était partie au centre commercial, il regarde vos photo de famille.

Ma confession lui fait effet d'un choc, savoir que son frère à pleurer est assez perturbant. Encore plus devant les photos de famille, famille qui a était détruite lorsque le monde démon a était détruit, nous somme les seul survivants, 14 au total.

Ma gorge se noue assez facilement en un instant, savoir que mon père adoptif, celui qui m'a le plus aimé, aider, celui qui m'a fait sortir de mon troue, qui m'as appris la boxe, le tire à l'arme, le mental d'acier, la passion automobile, la douceur avec les chevaux, les plaisirs simple de la vie, les balades, les bouquet de fleur, voler, contrôler ma colère et tout autre chose, va bientôt me quitter me déchire le cœur, encore plus qu'il ne l'était déjà.

Nous roulons encore et encore... plus vite et plus loin que t'habitude, c'est anormal et pourtant je n'arrive pas à lui dire de ralentir, je veux qu'il profite.

Plongé dans mes pensées je ne remarque pas tout de suite que la voiture zigzague, en revenant à moi même je prend conscience qu'il a un essoufflement assez prononcé, une toux assez forte, ainsi que ces yeux qui se ferme et se force à se rouvrir

-Arrête toi papa

-Non je vais bie-

Le voiture devit de sa trajectoire en une fraction de seconde, j'ai l'impression de vivre le moment au ralenti, ça respiration est anormal. Je réussie à rattraper le volant de justesse quand lui le lâche, au fur et à mesure que son corp s'enfonce dans son siège. J'essaye sans grand succès de couper le contacte mais la voiture va tellement vite, et le volant est tellement precit que je n'y arrive pas.

Mon sang froid commence à partir, petite à petit. J'essaye de le réveiller et dans un instant de distraction, nous percutons quelques chose. Nos corp se projette hors du véhicule par le pare-brise , les bout de vert encrer dans ma peau me fond atrocement mal, j'essaye temp bien que mal de résister à l'envie de fermer les yeux mais ces peine perdu.

La dernière visons que j'ai à cette instant précis est celle de mon héros, écrouler à terre, en manque d'air.

Papa est entrain de mourir et tout ça... devant mes yeux remplie de larme et de désespoir.