♬ 𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 14 ♬

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♫⋆。♪₊˚♬゚. ( PDV Genya ) ˚♬゚.

Je ne voyais absolument rien. J'étais incapable de bouger, comme si quelque chose avait transformé mon corps en statue de pierre. Tout ce que ce sentais, c'était que je respirais. Mon corps était anormalement léger, et j'avais l'impression de flotter dans les airs.

Avais je perdu la vie pendant l'incendie ? Est ce que cette sensation de légèreté, c'était mon âme qui s'envolait vers le paradis ?

J'ai enfin ouvert les yeux pour découvrir... un plafond de couleur blanche. À peine quelques secondes plus tard, je clignais des yeux, l'odeur caractéristique des hôpitaux m'emplissant les narines.

J'étais en vie. Et à l'hôpital apparemment. Il n'a pas fallu longtemps pour que je sente les brûlures sur mon dos recommencer à me piquer. J'ai grogné, essayant de me retourner pour trouver une position plus confortable. Une infirmière à côté de moi tourna la tête dans ma direction et poussa un soupir de soulagement quand elle vu que j'étais réveillé.

Infirmière : Ah ! Vous êtes réveillé monsieur Shinazugawa. Parfait.

Genya : Qu'est ce qui s'est passé ?

J'ai demandé d'une voix enrouée par la fatigue et la douleur. L'infirmière s'avançât vers moi et fit fondre petite gélule dans mon verre avant de me le donner. J'ai assumé qu'il s'agissait d'un anti-douleur et ai avalé le médicament sans me poser de questions.

Infirmière : Vous et votre amie avez été sauvés des flammes de justesse par les pompiers. Encore cinq minutes et ça aurait été trop tard.

Les souvenirs de l'incendie ont refait surface dans ma mémoire et l'angoisse s'empara de mon corps.

Genya : (T/p) ?! Elle va bien ?

Infirmière : Oui, ne vous en faites pas. Heureusement, ses poumons n'ont pas été trop endommagés. Quand on connaît la durée à laquelle elle a été exposée à la fumée, cela relève du miracle.

J'ai poussé un soupir de soulagement. (T/p) allait bien. J'avais réussi à la protéger.

Après quelques senti la douleur aiguë de mes brûlures de dissiper, un signe que l'antidouleur était entrain d'agir.

Infirmière : Souhaitez vous que j'avertisse vos proches de votre réveil ?

Je me suis soudainement rappelé de Sanemi, de Muichiro et des autres qui ont du être morts d'inquiétude pendant tout ce temps. J'ai alors faiblement levé la tête pour dire oui et j'ai pu remarquer que mes cheveux étaient un peu plus courts. Mes pointes ont dû cramer quand j'ai poussé l'armoire avec mon dos et l'hôpital à du me les couper.

Dix minutes plus tard, Sanemi déboula dans ma chambre, rapidement suivi par Muichiro.

Je m'attendais à ce que Sanemi me hurle dessus. Mais au lieu de ça, il m'a serré dans ses bras et a commencé à pleurer de manière complètement hystérique. Je n'avais encore jamais vu mon grand frère dans un tel état. Ses bras étaient pressés si fort contre mon dos que ça m'en faisait mal.

Genya : Aniki, tu me fais mal...

Il me relâcha à contre-coeur, des larmes de crocodile coulant en bas de son visage. Puis, il entreprit de déposer des bisous partout sur mon visage.

𝐔𝐍 𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑 𝐑𝐎𝐂𝐊 𝐍' 𝐑𝐎𝐋𝐋 ( Genya x Reader )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant