Les lames de la vie, aiguisées et tranchantes,
sans pitié,
sans prévenir,
nous lacèrent le cœur.
Les mots cruels coupent comme des couteaux en argent et laissent des traces indélébiles derrière.
Les blessures,
émotionnelles et profondes,
nous font ressentir une douleur insondable.
Tourne le couteau dans la plaie béante.
Un cœur à vif dans la nuit obscure, les larmes coulent comme un miroir brisé.
Un être qui souffre sans fin, la douleur étouffe la joie, fais trembler le vide dans l'âme avec la promesse d'une agonie.
Un esprit tordu, une âme torturée en guerre contre elle-même. Le poignard tranchant, je me l'inflige à moi-même. La lueur de l'acier s'immisce dans la pénombre de la solitude, étirant sa lame tranchante dans le cœur fragile.Le passé douloureux tient toujours fermement l'âme en otage qu'on ne peut libérer.
La douleur,
destructible et vive,
s'enchaîne aux entrailles,
s'enlace aux pensées et étouffe le moindre espoir dans le cœur.
Cette douleur ne peut pas être cachée, ni évitée.
Elle se nourrit de larmes,
de regrets,
de remords et s'incruste comme une tache éternelle dans l'âme.
Piégée dans un labyrinthe de souffrances,
chaque pensée,
chaque évocation,
chacun de mes pas me remémore le passé douloureux que je m'efforce vainement d'oublier.