Chapitre 2

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J'ai mal dormi c'était que cauchemar sur cauchemar, je tourne la tête courbaturé à ma gauche pour voir l'heure indiqué sur mon horloge, il était exactement huit heur trente je devait normalement être à mon deuxième jour de boulot, mais vue ce que j'ai vue hier ce n'était même pas pensable que je remette les pied dans cette sombre entreprise dirigé par le diable en personne.

Une fois laver, je cherche mon téléphone que je n'est pas toucher depuis que j'étais entré hier par crainte de voir des appels de la part de l'entreprise angoissé, je l'avait éteint une fois dans le taxi. Une fois le téléphone allumé qu'elle fut le choque de découvrir vingt sept appels manquées. Pourtant il ne s'agissait pas du numéro de l'entreprise, prise d'une soudaine paranoïa je m'apprêt rapidement pour chercher un petit déjeuner, sa me permettra aussi de soufflé et surtout d'oublier l'horreur d'hier.

Une fois de retour je constate une voiture noir très luxueuse garé devant mon immeuble de quatre étages, ce quartier et loin d'être un quartier de riche et cette voiture sort complètement du décor pratiquement délabré du quartier. Prise d'une soudaine angoisse elle monta doucement les marches, son instinct lui disait de partir en tout vitesse et son instinct à souvent su se manifesté quand elle était en danger.

Presque arrivé à son étage elle sursauta à cause des coups dur qui frappé à sa porte, prise de panique en voyant cette carrure imposante et cette main dure frapper fortement sa porte elle descendit en toute vitesse en fessant le moindre son que possible pour pas attirer son attention. Une fois en bas elle se redit compte qu'elle était piégée car deux molosses lui bloqué la porte de l'entrée en l'empêchant de sortir.

- S'il vous plaît, laisser moi passer. supplie ai je à deux doigts de tomber dans les pommes. 

- Eh bien mademoiselle Linkens on veut pas venir travailler ? dit une voix dur avec un fort accent derrière mon dos. Prise de frisson incontrôlé je n'osa pas me retourner et confronté son regard semblable à de l'acier.

- Vous avez perdue votre langue? répondez moi... pourquoi n'être pas venue au travail se matin? Dit-il durement en se posant devant moi, en me dominant avec sa taille.

- Parce que je ne souhaite plus travailler là-bas. Dit-je d'une voix faible en n'osant pas lever le regard.

- Ah oui...et qui vous en a donné l'ordre. Dit-il en tournant autour de moi telle un fauve.

- Moi dit-je avec un semblant de courage. Je pense finalement ne pas être suffisant qualifié pour êtres votre secrétaire. Dit-je d'un trait en oubliant de respirer.

- C'est à moi d'en jugé si vous êtes qualifier ou pas et quand je vous parle je préfère que vous me regardiez dans les yeux. Dit-il durement en me forçant à levé les yeux vers son regard glacial. 

-Et je vous rappel que vous avez signé un contrat, et d'ailleurs vue ce que vous aviez vue hier dans mon bureau il me serait beaucoup plus difficile de me séparer de vous. Dit-il en me chuchotant ces dernier à mon oreille. Je sentie son odeurs boisé mélangé au musque me caresser le nez.

- Je vous promet que je ne dirai rien, je n'irai pas voir la police si c'est ce qu'il vous inquiète. Dit-je prise de panique quand les deux molosse commence à s'approcher de moi.

- Je ne m'inquiète pas vue que je vais faire en sorte que vous ne dirais rien. dit-il en me remettant une mèche derrière l'oreille un geste qui me donna un frisson froid à la nuque.

- S'il vous plaît, non lâcher moi ! Dit-je en criant et en me débattant quand les des deux gardes me pris les bras.

-J'avais d'autre plan pour vous.... . dit il avec un air machiavélique en s'approchant de moi avec une démarche nonchalante pendant que je me débâté, dans les mains un chiffon qui avait l'air imbibé d'un produit.

- Mais vous auriez du répondre à mes appels. dit-il en dirigeant le chiffon à mon nez tout en soutenant ma tête avec son autre main.

Alors c'est comme sa que je vais mourir des mains d'un roi, pensai je en me sentent partir.      C'est assez ironique, je pensé que je pouvais enfin avoir la vie d'une jeune femmes de Vingt trois ans normal et finalement je ne meurt pas de le main de mon père et ma belle mère mais dans les mains d'un roi sanguinaire. Quelle triste vie... .


Huit heure elle n'était pas la je commence à bouillir de ne pas la voir arriver malgré les appels à répétition, son téléphone était éteint. Je commence à compter les minutes et toujours aucune présence d'elle, je tourne comme un fou dans mon bureau avec yussuf qui tente de me résonner.

- Votre majesté il faut se faire à l'idée qu'elle ne reviendra pas. dit il 

- Je sais ! Dit je durement pressé de revoir ces beau yeux apeuré.

- Qui voudrait revenir en voyant son patron perdre le contrôle est crée un bain de sang... en plus c'était son premier jour. dit je en pinçant un rire.

-Que comptez vous faire votre majesté. dit il en fronçons les sourcils

- Que se passe t'il yussuf, je sais que quelque chose te tracasse. dit je en étudiant son visage inquiet.

- Cette jeune femme a l'air innocente je ne pense passe pas qu'elle irait crier sur tout les toits se qu'il ces passé hier, ni vous faire du chantage. dit il en plaident pour elle

-On sait rien yussuf tu la vue que pendant une journée même pas. dit je en essayant de cacher mes véritables motivations en ce qui concerne cette fille.

- Et si tu pense que je vais la tuer, ce ne sera pas le cas et d'ailleurs sa me déplait fortement que tu puisse une seconde penser que je puisse faire du mal à une innocente. dit je énervé qu'il puisse penser sa de moi, jamais je ne ferais du mal à une femme même si certaines aurait mérité une bonne correction je pense notamment à ma mère. 

- Je suis navré votre majesté... c'est juste que je repense à son regard apeurée. dit il faiblement.

- sache que son regard ma empêcher de dormir toute la nuit. dit-je en récupérant son mentaux.

- Ou allé vous ? dit il en se levant a son tour. 

- Je sort la chercher. dit je en sortant de mon bureau. 

- Je vous prépare la voiture. dit yussuf en me boitant le pas.


Dans mes bras en me dirigeant vers la voiture après l'avoir fait endormir d'une manière pour le moins douteuse, je reste époustouflé par sa beauté qui se révèle plus merveilleuse à la lumière du jour et ses cheveux brun miel d'une longueur impressionnante et épais. Il se surprit toute fois à s'inquiéter du poids de la jeune femme endormi profondément, il avait l'impression de porter une plume tellement elle était légère dans ses bras imposantes.

Une fois dans la voiture avec sa tête délicatement posé sur sa cuisse tendu par les muscles, il caressa c'est en se promettant qu'a son réveil qu'il la gardera enfermé jusqu'à ce qu'il comprenne se sentiment qui lui était inconnu. 


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⏰ Last updated: Jul 23 ⏰

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