Todoroki Shoto, 25 ans, avait déjà vue des choses dans sa vie même si il n'en n'été même pas à sa moitié. Mais jamais il n'aurait crue voir cela à plusieurs reprises. Ce n'était pas grave supposa t'il les deux premières fois. Mais maintenant, il se demandait si quelques choses n'allait pas bien avec cette jeune fille. Chaque jours de pluie, cette fille aux cheveux étrangement rose ce baladé pied nue. Sans manteau, ni veste, habillé de son tee-shirt pastel et de son jean noir, elle dansait ou ce perdait sous le ciel nuageux.
Jeune fille : plic plac ploc. Elle chantait parfois.
Beaucoup l'éviter, les gens avait peur de même appelé de l'aide pour cette jeune femme d'une vingtaine d'années. Elle était beaucoup plus fascinante que malade aux yeux de Shoto. Elle n'était pas triste, c'est ce qu'il avait crue au début. Mais elle s'amusait à danser bien qu'avant de la voir comme il l'a voyait maintenant. Il pensait qu'elle semblait souvent très saoule. Chaques fois qu'il descendait de la gare, il l'a croisé quelques part sur son chemin dansant encore et encore.
Elle semblait ne jamais tombé malade en ces mois pourtant si froid. Un nouveau jours de pluie fit son apparition en ce mois d'octobre. Mais plutôt que de la regardé bêtement danser, il s'avança avec son parapluie vers elle.
Shoto : salut, jeune fille sous la pluie. Je suis Shoto. Attirant son attention avec son parapluie qui la protéger, la jeune femme l'écouta.
Mina : je suis Mina, je suis la feuilles d'autonome qui danse sous la pluie.
Shoto : Tu es très élégante.
Mina : je te remercie, Shoto.
Elle se retira de l'abris faisant comprendre que la discussion été terminer. Shoto est donc retourné chez lui comme il le faisait tout les jours. Le lendemain soir, Mina été là à danser une nouvelle fois sous la pluie. Shoto la regarda. Il avait réussit à lui parlé mais ce n'était pas suffisant, il décida de retiré ses chaussures. Et d'aller la rejoindre pour danser avec elle sous la pluie.
Il est dit que quand l'automne sonna, et annonça sa première pluie. Un couple dansant pied nue ce rejoindrait. Une feuille d'automne et un léger rayon de soleil ce réunissait.
Fin.
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