Chapitre 1

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C'est vraiment ennuyeux d'étudier seule... Dans sa chambre chaques jours, ça fait longtemps que je n'ai pas vue mes amies, elles me manquent.. J'aimerais les revois et pouvoir discuter et raconter des potins avec eux, comme à mon habitude, mais bon, on fait avec, et puis je parle avec elles via mon téléphone..

Je reçu une notification, détournant mon regard des bouquins je regarde, c'était un message de Ameline, ma meilleur amie.

"Je suis devant ta fenêtre"

Alors je regarde le message perplexe, je me lève, ouvrant délicatement ma fenêtre, sans faire de bruits pour ne pas réveiller mes parents qui dorment probablement à minuit...

-"Ameline ? Qu'es ce que tu fais ici ?" Dis-je, penché contre la fenêtre pour pouvoir les regarder.

-"Rose, on va faire une balade nocturne, comme dans le bon vieux temps" Dit-elle enjouée, je l'a regarde, hésitante, mais remarquant mon hésitation elle reprend la parole.

-"Ne t'inquiète pas à propos des disparition, regarde ce qu'on a !" Dit-elle en essayant de me rassurer alors que toutes, sortait un couteau sauf Ameline qui elle, sortait un taseur, son père était policier c'est vrai...

D'un pas hésitant, je vint mettre une peluche sous ma couette, pour mimer la forme de mon corp, afin que mes parents pensent que je dorme si ils entrent.. Puis j'éteins la lumière et descend prudemment de ma fenêtre.

Je me sentais bien, on se baladais dans la rue, les étoiles étaient apparentes dans le ciel, ça me rappellait le bon vieux temps où l'ont faisait exactement pareil, mais sans la peur de nous faire enlever, mais c'était drôle de se faire peur et de psycoter entre filles, de se mettre à sprinter à dix lorsque qu'on voit une camionnette, ou quelqu'un de suspect, bref, je m'amusais, et ça c'était le principal, bien que j'étais inquiète que mes parents découvre mon absence.

On habite en campagne, alors les rues, sont vide, c'est pour ça d'ailleur qu'on s'inquiète tant des discussions, c'est rare en campagne.

On était toute les dix allongées dans un champs, contemplant les étoiles, je pouvais enfin entendre les potins du lycée, c'était intéressant.. De savoir les embrouilles, les couples, mon péché mignon.

Je crus entendre une petite mélodie, au loin, c'était sûrement quelqu'un qui jouait la fenêtre ouverte, c'était relaxant, la personne jouait vraiment bien, je ferme les yeux, ils me piquaient, j'étais fatiguée, je crue m'endormir, je rêve que j'étais dans une maison, maison où je n'ai jamais mis les pieds.. Elle était sale, comme si elle était abandonnée, je regarde autour de moi, l'endroit avait tout pour me faire peur mais bizarrement, je me sentais bien, je n'avais pas peur, dans mes souvenirs, je crus apercevoir des silhouettes de temps en temps, puis je me réveille, il faisait nuit, toujours nuit, c'était étrangement silencieux, je m'assoit, frottant mes yeux pour me réveiller, je crus que mon cœur allait louper un battement lorsque je ne vis personnes, juste moi, le champ et les étoiles, il y avait une étrange odeur et l'atmosphère était également étrange, je me lève toujours, j'entendais toujours la mélodie du piano, mon respiration s'emballe, pourquoi il n'y avait plus mes amies ? Je regarde autour, presque paniquée, elles devaient me faire une farce.. Ce n'est pas drôle, j'essaye de me rassurer le mieux que je peu.

-"Ameline ! Julie ! Mélodie !.."
Je criais un à un, leur prénom, sans réponse, le brouillard m'empêchait de voirs au loin, alors je marche, vers la route, peut être qu'elles se cachaient la bas, la mélodie du piano commençait à me faire mal aux oreilles, j'avais l'impression qu'elle était là pour le faire peur bien que je suis persuadée que c'est juste une personne qui joue la fenêtre ouverte.

Je cherche les amies, désespérément pendant au moins 20 minutes, je commence à croire qu'elles m'ont abandonnées, je soupire, la mélodie du piano devenait de plus en plus forte dans mes oreilles, alors je décide, instinctivement de m'approcher, par curiosité, ensuite je rentrerai chez moi, je marche le long de la route, suivant la mélodie, j'arrive dans un autre champ un peu plus loin, je vis un piano, au milieu de celui ci, alors, je ne pourrais pas vous expliquer pourquoi j'ai fais ça, mais j'ai courru, le plus vitr possible, vers le piano, je voulais voir qui jouait cette même mélodie depuis si longtemps, je m'arrête devant, essoufflée, je relève la tête, et mon cœur loupa un battement... Personne ne joue... Alors je fis nei tour du piano, pour y voir... Que les touches bougeaient toute seule, c'était étrange à voir, j'avais peur, mais j'étais en même temps captivée parce ce piano, mais plus je le regardais, moins je me sentais en sécurité, j'entendais des bruits autour de moi, des craquements, j'avais l'impression de devenir parano, et que si je continuais de rester à côté de se piano, mon cœur allait s'arrêter de panique, alors je m'éloigne, reculant, je le garde toujours des yeux, puis je me tourne et je pars en courant, j'ai du au moins courrir pendant vingtq minutes pour rentrer chez moi.

Arrivée chez moi, j'escalade ma fenêtre, j'entendais toujours le piano de chez moi, pourtant il était si loin.. Je ferme la fenêtre, j'étais probablement encore entrain de rêver, je regarde mes mains, elles sont normales pourtant, alors je laisse échapper un soupire, accroupie contre le mur de ma chambre à psycoter sur ce piano, mais je devais dormir, alors je me glisse sous la couette, et je ne sais par quel miracle mais je réussi à m'endormir, rejoignant les bras de morphée.

Le lendemain, je me réveille, il devait être environs onze heure, je n'ai jamais dormis aussi tard... Normalement mes parents me réveille avant, je pensa donc qu'ils étaient au courant de ma petite escapade de la nuit dernière, je me lève, je sais qu'ils sont au travail, je vais dans le salon, on était samedi alors je n'étudie pas. Je ne sais pourquoi, mais mes yeux se tourne vers le porte manteau, je le regarde, perplexe, pourquoi y'a t'il toujours la veste de mon père ? On est en hiver pourtant il aurait dû la prendre, je regarde par la fenêtre, il y a toujours les voitures de mes parents.. Ils sont restés à la maison aujourd'hui ? Mais ils devraient déjà être réveillées ? Alors je marche vers leur chambre, j'ouvre doucement la porte pour y voir... Personne.

Mon cœur loupé un battement, tout le monde me fait une blague ? Alors je m'habille vite fais, puis enfile mon blouson, la porte d'entrée était bien évidement fermée alors je sors par ma fenêtre, j'habite un peu reculé du bourg alors il n'y a personne, je cour vers le centre, je sors mon téléphone pendant la course, mais je n'avais pas de réseau, alors je continue, arrivée au bourg, je rentre chez tout les petits commerces pour y voir... Personne... Les rues étaient vide, les larmes commençaient à coulées de me joues, j'avais peur, j'étais terrorisée.

Alors je cria, de toute mes force, le prénom de toute les personnes que je connaissais, mais personne ne répondit, je dû créer au moins une bonne heure avant de m'efondrer par terre, j'abandonne... Allongée sur le sol, je regarde le ciel, les yeux vides et le cœur battait dans ma poitrine, je regarde mes mains, espérant rêver, mais elles étaient normale, cinq doigts parfaitement normale...

Mais je n'entend plus le piano, qui a laissé place à un silence glaciale, la vue était triste et fade sans humains et animaux.

Je trouve le courage de me lever, et je marche, traînant des pieds, mes amies, ma famille... Ils me manquaient déjà...

Il y avait un vélo par terre, alors je le prend et, je pédale, j'espérais voir du monde en pédalant jusqu'à la ville la plus proche..

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