La premier ligne franchis

60 1 0
                                    

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥

Je rentre dans ma loge énerver et frustré après se débat

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Comment a t il pu ressortir ça pendant un débat alors que c est pas le sujet il M énerve une vrai tête à claque se bardella

Une personne toque à la porte je souffle et lui demande d entre

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Je suis pas d humeur donc faite vite s il vous plaît.

Je me retour avant de voir bardella me regardant avec un grand sourire

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Qu es que vous me voulez encore.

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Oh je vois que Monsieur Gabriel Attal n est pas très content? C est parce que je ressors des sujet fâcheux

Mon sang bouillonner j avait qu une envis c était de lui hurler de partir

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Non. Puis même c est pas le suj-

Mon téléphone sonna dans ma poche en le sortant je vis le Président M apeller mon visage se décompose es qu il était fier de mon débat ou es que c est pour autre choses? Je décidé de décrocher en oublient totalement bardella

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Bonsoir Monsieur le Président

𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 :
Gabriel j ai vu ton débat ça va tu t es pas mal débrouiller face à Jordan bardella.

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Merci beaucoup Monsieur le Président

𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹 :
Je te pardonne donc pour le faite que tu n as pas fini les documents que je t avait donner à faire

Je pousse un soupir de soulagement en entendent ça

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Ça fait plaisir de la entendre Monsi-

J avait pas fini de parler que Jordan attrape mon téléphone

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Monsieur le Président ! Comment allez-vous ?

Je reste la sans rien faire choquer par se qui venez de faire

𝗘𝗺𝗺𝗮𝗻𝘂𝗲𝗹:
Monsieur bardella ? Que faite vous dans la loge du premier ministre.

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Oh rien de spécial juste parler de divers choses Gabriel vas donc vous laisser nous avons plein de choses à se dire bonne soirée.

Il raccroche et me redonne mon téléphone en me souriant

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Tu es vraiment malade bardella. LE PRÉSIDENT VAS ME TUER !

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Vraiment. Il vas pas te tuer pour ça puis cela M embêterai et je dois te rentre quelque chose

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Hum? Vous avez rien à me-

Il me coupa la parole en M embrassent je sentais comme un apaisement et un choc j arriver pas à y croire pourquoi me rentre un bisous sur la bouche d un seul coup un flashback me reviens de moi hier soir l embrassent je ne l avait pas fait pour rien mes sentiment que je refouler envers lui avait pris le dessus hier et encore aujourd'hui je rester la sans bouger profitent de se moment et de la chaleur de son corps cela n avait durée pas longtemps avant qu il arrête est me regarde j était tout rouge

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Je voulais vous rendre se bisous que vous M avait fait

Il me lance alors un sourire

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Prevez quand vous du moins tu fais ça.

Il rigoler à me voir perdre mes mot

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Tu m avez pas prévenu la première fois Gabriel je fais de même

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Rentrez dans mon jeu est très risquer Jordan

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
Alors je vais prendre ses risques.

Une personne derrière la porte toque pour me prévenir que mon chauffeur était la pour me ramener, je regarde Jordan qui me souris et met ca main sur mon visage

𝙅𝙤𝙧𝙙𝙖𝙣 𝙗𝙖𝙧𝙙𝙚𝙡𝙡𝙖 :
On se revois bientôt Gabriel

𝐆𝐚𝐛𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐀𝐭𝐭𝐚𝐥 :
Oui j oublierait pas ton rendez-vous cette fois ci promis

Je pars alors de la loge laissant derrière moi Jordan

Dans la voiture j ai pas arrêter de penser à lui et à se qu il vener de faire

𝙹𝚎 𝚕 𝚊𝚒𝚖𝚎́ 𝚎𝚜𝚝 𝚌𝚊 𝚓𝚎 𝚙𝚎𝚞𝚡 𝚙𝚞 𝚕𝚞𝚒 𝚌𝚊𝚌𝚑𝚎𝚛 𝚖𝚊𝚒𝚗𝚝𝚎𝚗𝚊𝚗𝚝.

La politique ou L'AMOUR (tome 1) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant