L'instant Fatidique

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Ceci est une œuvre de fiction. Tous les personnages sont fictifs et toute ressemblance avec des personnes réelles est purement fortuite. Ce titre est destiné aux adultes. Il contient des actes explicites, des thèmes adultes et du contenu que certaines personnes pourraient trouver offensif.

Copyright ©2024
Tony Hemrix.
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Il ne me restait plus que quelques heures pour achever la rédaction de ces milliers de mots, car ce soir je ne serai plus qu'un esprit ou peut-être qu'une âme qui ne saura d'où elle vient, ni où elle va. On dit souvent que rien n'est fait au hasard et que chacun de nos pas sur terre, nous achemine vers notre destin, mais j'ajoute à cela que ces mêmes pas peuvent nous faire esquiver notre réel destin et nous mener au fond d'un gouffre duquel on ne pourra plus remonter, même avec une sorte d'échelle. Et en ces moments, l'on accusera certes notre père et l'exposera à un tas de questions, oubliant qu'il était lui-même coupable de son propre sort, malgré les chances que son père avait dû mettre à chaque recoin de son parcours.

Dans ma vingt-unième année, pour être plus libre, afin de pouvoir vivre par satisfaction, en plein temps, de mes pulsions, j'avais du coup quitté mes parents pour me faire loger dans une sorte de pied-à-terre, juste pour le plaisir et pour pouvoir éviter tout contrôle parental qui pourrait être un frein pour moi. Je faisais partie de ce genre de d'hommes qui étaient plus attachés au sexe qu'à l'amour et qui ne rataient aucune occasion quand une venait à se présenter.

Dans mon aventure de chasse à la femme, j'avais eu la chance de rencontrer, un soir dans l'une de mes sorties, en boîte-de-nuit, une jeune demoiselle qui était vraiment de mon goût et qui faisait aussi partie de ce genre de filles qui rêvaient de sortir avec des garçons "Damso" comme moi. Elle s'appelait Divana, une fille ronde, belle et surtout très sexy, qui vivait avec ses parents et une petite-sœur dans une maison à étages dans la ville. Mais en ces temps-là, son père était en mission en France. Ainsi elle ne vivotait qu'avec sa sœur et sa mère.

Malgré le fait qu'on entretenait une relation sérieuse et avec plein d'amour, je ne m'empêchais de l'ensemencer à chaque fois qu'on se retrouvait sur le tatami. Le sexe primait dans notre relation, bien entendu que nous étions deux personnes d'un même genre sentimental. Nous étions seulement à quinze jours de notre relation, mais je dirais qu'on avait déjà eu le record du "couple le plus niqueur du monde". Nous étions deux jeunes vivant en toute douceur une relation que chacun de nous avait longtemps rêvée.

Avec le temps, Divana décida de me présenter à sa famille. Sa raison, officialiser notre relation, ce qui pourrait nous donner plus d'opportunité où je pourrais faire des séjours chez sa famille ; et réciproquement, elle pourrait venir chez moi afin de mieux profiter de notre relation. Sur ce, elle m'invita un soir pour un dîner avec sa famille, chez elle, à la maison. Je m'étais mis sur mes trente-un, à jamais, comme tout gentleman d'ailleurs qui, pour la première fois, devait rencontrer sa future belle-mère.

Une fois au portail, après plus de mille signes de croix sur le front, avec une accélération cardiaque, j'appuyai finalement sur la sonnette d'alarme fixée au portail. Un imposant portail rouge qui fonctionnait avec des roulements. Quelques secondes après, je me retrouvai devant une belle poupée m'ouvrant le portail. Une fille dont la ressemblance me laissait deviner qu'il s'agissait de ma belle-sœur, mais dont l'humeur était plus détendue que celle de Divana. Paniqué devant une beauté plus intense que celle que je voyais d'habitude, je raclai ma gorge :

_ Euh... Salut! C'est chez Divana, j'espère.

_ Salut, oui, oui. C'est toi, Hemrix?
me demanda la demoiselle.

_ Oui, c'est bien moi. Au fait euh...

_ Shuut! Ne parle pas trop. Je sais qui tu es. Te voyant, je ne doute pas une seconde que c'est toi le fameux petit-ami de ma sœur. Vite, entre. On n'attendait que toi pour soulever la foëne. Divana nous a prévenus de ton arrivée.

_ Ah d'accord, cool!

Une fois dans la maison, la jeune demoiselle était restée devant moi et me dirigeait au salon, au rez-de-chaussée. Étant dans sa maison, elle était juste dans un jogging qu'elle avait tiré jusqu'à l'abdomen, ce qui laissait voir la fente de ses disgracieux muscles fessiers. Je ne m'empêchais de commettre ce péché mignon en matant les rebondissements de son postérieur ; et curieux de connaître son nom, je lui demandai tout gentiment :
_ C'est toi, la sœur de Divana ?

Une Ivresse Polissonne Où les histoires vivent. Découvrez maintenant