Sous le voile de la tentation

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Oui, c'est moi.
_ Super! C'est quoi ton nom?
_ Appelle-moi Tasha ou Shasha... Bref, tout ce que tu veux. Okay?
_ Waouh! Cool comme prénom.
_ Gentil...
Les amples fesses fendues de Tasha me mettaient en érection. Je pouvais donc sentir secrètement la chaleur de mon pénis sur ma cuisse. Le comble était que je n'avais mis aucun caleçon ce soir-là, et mon slim-jeans me sabotait déjà. Ma verge sortit son prépuce de champignons qui se contractait à chaque instant.
Une fois entré, Divana était déjà à table avec sa mère. Une très longue table de verres et de porcelaines. Alors Tasha les rejoignit à son tour. La chance que j'eus était que Divana m'avait fait asseoir une fois entré dans le salon, ce qui m'avait sauvé de ces instants. Sans perdre de temps, elle me présenta à sa sœur, puis à sa mère qui était une très belle femme ronde et aussi ravissante que ses deux filles. Malgré son âge, elle prenait toujours soin d'elle au point de toujours plaire à tout jeune de mon âge. Je faisais face, tête-à-tête, à une famille dont les femmes se ressemblaient comme si elles étaient des jumelles aussi belles que des déesses.
Après la présentation, on se lança dans un long débat qui avait vite talonné le temps où on se retrouvait aux alentours de minuit. J'ai décidé de rentrer, car j'habitais un peu loin de chez elles.
_ Désolé, belle-mère, mais je crois que je vais devoir vous fausser compagnie. Je vous remercie énormément pour tous ces plats délicieux que vous m'avez offerts.
_ Oh Hemrix! Tu nous quittes déjà? Bah non, fais comme chez toi, il y a de la place chez nous et même tu peux rester avec ta chérie pour passer la nuit. N'est-ce pas, Divana?
_ Oui, maman, répondit Divana. Tu en penses quoi, chéri? Et vu le temps, il fait tard, la ville doit être très dangereuse.
_ D'accord, comme tu veux, chérie. Merci, maman, de m'avoir offert la chance de passer la nuit chez vous, dis-je à ma belle-mère après ma réponse pour Divana.
_ Je t'en prie. Tu peux faire comme chez toi. Tu passes surtout une douce nuit avec ta chérie, me disait-elle à la suite d'un clin d'œil.
Après cet agréable échange, la mère avait demandé à ce que Divana débarrasse la table. Elle nous souhaita une "bonne nuit" et nous laissa à trois au salon. Après qu'elle fut partie, Divana ramena les plats qu'elle avait ramassés sur la table-à-manger à la cuisine. J'étais donc resté à table avec sa sœur Tasha, cette fille au regard attractif.
_ Tu es très beau, commença-t-elle avec une douce voix. J'espère que tu prends bien soin de ma sœur, Hemrix.
_ Ah oui, chérie, c'est la première des choses. Tu le sais bien, n'est-ce pas?
_ Je n'en doute pas. Tu m'inspires de la confiance, de toutes les façons. J'espère que je ne me trompe pas.
_ Aucunement, demoiselle. Je crois que tu as le don de la vision.
_ Haha!
On avait tous les deux commencé à rire quand Divana revint au salon.
_ Ouloulou! J'ai manqué quel épisode? nous demanda-t-elle, une fois de retour de la cuisine après nous avoir surpris en train de rire.
_ C'est Hemrix qui ne cesse de me faire rire ici, lui répliqua Tasha.
_ Bon, je crois qu'il va te fausser compagnie. Vous allez vous revoir demain-matin lors du petit-déjeuner.
_ Oh non, déjà? Il est cool, ton mec.
_ Bonne nuit, Tasha. À demain.
Divana m'emmena ensuite dans sa chambre, laissant seule sa sœur au salon . . ...Une fois dans la chambre, elle me poussa sur son lit et sursauta sur moi, ouvrit la braguette de mon pantalon et en sortit mon membre ; puis, en silence, elle commença tendrement une fellation. Elle savait si bien le faire et prenait une main pour me tripoter les nichons. Sa chambre était au deuxième étage, une surface rectangulaire abritant de nombreux meubles luisants, et une fenêtre par laquelle on pouvait avoir une vue panoramique de la ville.
_ Comptes-tu finir ce que tu as débuté?
_ À ton avis? Je parie que tu ne peux pas tenir à cette fellation plus de dix minutes, mon cher.
_ Haha, tu es sûre de toi? Je crains que tu n'aies la langue tordue à la fin.
_ Après ceci, j'aimerais bien que tu me prennes en levrette jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme.
_ Tout ce que tu voudras, chérie. Mais tu vas contrôler tes gémissements pour ne pas embêter les autres.
_ Ça dépendra de toi. Il va falloir que tu sois tendre avec moi pour qu'on finisse tout doucement.
Lors de la fellation, je devenais de plus en plus excité. Elle ne cessait de me caresser les testicules et de passer sa langue autour du gland de ma verge. Je repris sans perdre de temps le contrôle et lui mis à quatre pattes. Pour éviter de lui sauter dessus sans la faire mouiller comme nos grands-parents au dix-neuvième siècle, je passais ma langue entre la fente de ses muscles fessiers et léchais son petit anus noir que j'adorais tant.
_ Oush, chéri, là je crois que je vais commencer par crier.
_ Retiens-toi et tiens bon, je suis sur le point d'insérer ma langue dans ton petit trou.
_ Mmm... Mmm... Allez, vas-y. Bouffe-moi le cul. J'adore ça, murmurait-elle toute chaude.
Je sentais son extase par la chaleur que dégageait son vagin et par la température de son corps qui augmentait. Mon jeu de langue la faisait gémir et elle se mouillait comme une limace libérant des salives.
_ Chéri, pénètre-moi maintenant, s'il-te-plaît.
Je retirai ma langue de son anus et ma tête de la fente de son cul, puis enfonçai tout droit ma verge dans son vagin gluant, aux salives d'escargot. Tout glissait en elle tout lentement et elle poussait de doux gémissements. Elle ne cessait de mouiller et de couvrir mon sexe de ses sécrétions blanchâtres. Chaque coup de bassin était bien coriace et secouait ses grosses fesses tout en laissant de petits sons érotiques.
Divana avait des seins moyens, ronds et confortables comme une mousse, avec des bouts noirs pointus que j'adorais sucer lors des caresses et presser quand je lui faisais l'amour.
Je m'accroupis sur elle et lui pressais délicatement les seins, ce qui nous procurait de nouvelles sensations. Chacun de nous sentait la chaleur et le corps de l'autre contre les siens. J'enchainai quelques coups de reins qui étaient sur le point de faire cracher la corne du diable. J'éjaculai en elle sans me donner de réserve et l'embrassai avec fougue.
Après ce moment de légèreté, tout portait à croire qu'avec ma douce Divana, le temps restait suspendu. Après la brève pause, pour reprendre du souffle avant un possible deuxième tour, je constatai avoir oublié mon portable au salon. J'allais donc y retourner.
Arrivé au salon, dans une pénombre bleutée, en silence, je surpris Tasha en train de se masturber, je dirais même qu'elle était plus qu'à fond dans ce qu'elle faisait. Elle avait ses jambes en l'air, deux doigts dans son fourreau et une main sur ses seins. Elle gémissait tout lentement avec une voix fine et très excitante qui me donnait envie de prendre le contrôle pour l'accompagner dans son exercice manuel.
《Merde! Qu'allais-je faire?》C'était dingue. J'étais perdu mentalement.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 30 ⏰

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Une Ivresse Polissonne Où les histoires vivent. Découvrez maintenant