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As-salam aleykoum wa rahmatu-Llah wa barakatuh, vous allez bien ? Moi ça va Al hamdoulilah.

Commentez et votez les filles, ça me ferais vraiment plaisir.

...

Je me suis avancé vers lui, puis je lui ai retiré ce qu'il avait en bouche.

Moi: Ilyes, arrête de toucher à ces trucs. Je te l'avais déjà demandé en plus. Il faut qu'on cherche Naïm.

Il me regarde surpris.

Ilyes: Naïm il est parti ?

Moi: Oui viens, prend la voiture.

Ilyes: Mais faut se dépêcher là, W'الله fallait pas le laisser sortir vous savez pas ce qu'il peut faire putain.

Moi: J'ai essayé mais Sofiane m'a retenu.

On descendait les escaliers, puis on a pris la voiture.

On faisais des tours au quartier, on demandait à des gens, mais personne ne l'a vu.

Ilyes: PUTAIN. W'الله si il lui arrive 1 truc-

Moi: Mais pourquoi il devrait lui arriver quelques choses ?

Ilyes: Il a déjà fait une tentative de suicide.

Mon cœur s'est mis à battre anormalement.. Il fallait à tout pris qu'on le retrouve.

On a fini par arriver à l'opposé du quartier. J'ai vu Naïm assis par terre, un soulagement W'الله. J'ai demandé à Ilyes d'attendre dans la voiture, je voulais juste parler à Naïm.

Je lui relève la tête, il pleurait.

Naïm: Ma mère elle s'est faite violée et Ilyes et moi on a pas le même père, qu'est-ce que je fou encore là ?

Moi: Eh, arrête Naïm, W'الله t'es comme ton frère, t'es un guerrier vous allez tous les 3 y arriver ensemble à surmonter cette épreuve Insha'الله.

Naïm: Tu crois ?...

Moi: Bien sur Naïm.

Il m'a pris dans ses bras. W'الله ils me faisaient tous mal au coeur..

Moi: Va voir Ilyes, il t'attend dans la voiture.

Il y est allé, moi j'ai attendu dehors. J'étais assise, c'est un sujet sensible j'ai préféré les laisser parler entre eux.

Au bout de 30 minutes, Ilyes m'a fait signe de la main, j'allais monter derrière mais Naïm m'a laissé la place. Mon bébé je l'aime trop.

Je leur ai proposé d'aller chez moi, et j'ai dit à ma mère de dire à Samira qu'elle vienne aussi.

Je vous passe le trajet, qui encore une fois était très silencieux.

On est monté, quand j'ai ouvert la porte ma mère pleurais. Aujourd'hui tout le monde pleure ? Quand elle m'a vu, elle a vite essuyé des larmes.

Yemma: Vous allez bien ? Entrez, je vais vous faire un thé.

Ilyes: Oui ça va Al Hamdoulilah et toi ? Repose toi Khalti, t'inquiète pas pour le thé.

«Jusqu'à ce que la mort nous sépare»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant