Les flammes de l'aventure || En cours

Chapitre 35 : Île en vue !

Publié le : 16 juillet

JE SUIS ENFIN DE RETOUR !!

Désolé pour cette semaine d'absence 😔 mais je n'avais plus trop d'inspi et de motivation pour l'écriture. Mais je l'ai trouvé !
Je suis allée voir ma famille à 5h de route de chez moi et je n'ai même pas écrit pendant le trajet..

Enfin j'étais surtout bloquée car je ne voulais pas faire une certaine chose mais j'ai été "obligé" de la faire sinon il n'y aurais pas vraiment de chapitre et ça irait un peu trop vite à mon goût ! Sachant que la je retarde à un peu l'avancée avec du blabla depuis 2/3 chapitres, mais bon !

Donc j'ai été aidée pour écrire ce chapitre ! Je vous expliquerai à la fin de ce chapitre

Vous allez être gâté après une semaine d'absence !

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Cela faisait déjà plusieurs jours qu'on navigait et aucune île ne montrait le bout de son nez. J'étais appuyé contre la rambarde comme à mon habitude pendant que Marco surveillait la trajectoire du bateau. Tout se faisait dans le plus grand des silences. À vrai dire, on s'ennuyait beaucoup ici, tout les deux, sans aucune distraction. On avait pas grand chose à se dire non plus. Je déprime et ça Marco le voit, mais il est pas très fort pour rassurer ou même remonter le moral et ça il le sait, et ça c'est assez vu les premiers jours.

Je reste en silence sur le pont à surveiller l'horizon et surtout la vivre card d'Iris qui se consume petit à petit. Et au plus grand bonheur de Marco, je dors et je mange.

D'après Marco, la prochaine île n'est plus qu'à quelques heures. Et on devrait commencer à la voir d'ici ce soir. Ça nous a un peu remonter le moral. Même si je préfère la mer, savoir que je vais enfin poser les pieds à terre me fait plaisir. Ce bateau est trop petit pour que je puisse dépenser toute l'énergie que j'ai accumulé ces dernières semaines à rester allongé sans cesse.

Alors que le soleil est à son point le plus haut et qu'on a fini de manger, je m'avance et vient m'écraser contre le mur de la cuisine à l'extérieur. J'observe le ciel de longues minutes avant de finir par m'endormir.

Pov: Marco

Ace s'était endormi depuis maintenant deux bonnes heures sur le pont. Le silence règne depuis plusieurs jours mais Ace a besoin de ce silence. Et puis, on va pas dire que je sais remonter le moral ou même rassurer les gens, surtout que là, vas rassurer quelqu'un alors que la vivre card d'une personne cher est en train de se consommer à petit feu. Je vous jure que c'est pas facile du tout.

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Pov : Iris

La cellule était plongée dans une obscurité oppressante, seulement interrompue par la lueur vacillante d'une torche murale. L'air était lourd, chargé d'une humidité qui collait à la peau. J'étais dans un coin, telle une silhouette frêle, enchaînée à un mur de pierre froide, mes poignets meurtris par les fers.

Mon visage est couvert de sueur, et je tente désespérément de réguler ma respiration. Mes yeux sont voilés de terreur, attendant la prochaine séance de souffrance. Shiro, cet homme de l'espèce la plus ingratte qui puisse exister, entra sans un bruit, ses bottes claquant doucement sur le sol. Dans ses mains, il tenait un fouet, ses lanières se terminant par des pointes métalliques.

Shiro- Alors comment tu vas ma belle ?

Iris- Ça a l'air d'aller peut être ?

Cette question n'eu pas l'air de le faire rire tant que ça puisqu'il perdit son sourire sadique et s'avança un peu plus de moi. Mais il le retrouva bien vite, la peur se lisant dans mes yeux. Une fois qu'il se jugea assez proche, un claquement résonna dans un bruit sourd, suivi d'un cri déchirant dans la cellule, puis du bruit sourd des chaînes s'entrechoquant alors que je me débattais sous la douleur. Des lignes rouges sanglantes apparurent sur ma peau, chaque coup creusant des sillons plus profonds et plus douloureux.