Chapitre 2 🤍

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Selem aleykoum 🤍

? : LEILAAAAA FAIT PAS ÇA JE T'EN SUPPLIE !!!!!!!

Je sursaute face à ce crie et me retourne c'est la que je vois les seules personnes qui compte pour moi, ma famille Nayla et Nassim. Nayla est littéralement en pleure et essoufflée. Quant à Nassim lui est essoufflé et apeuré. Ils étaient sur le point de s'avancer vers moi.

Moi : NE VOUS APPROCHEZ PAS ! d'une voix tremblante

Nayla : Leila on peut t'aider mais ne saute pas s'il te plaît

Nassim : pense à ta mère Leila

Je réfléchis à ce que Nassim vient de dire et c'est vrai est ce que ma mère serait fière de moi si je saute ? Non je ne pense pas enfaite elle serait même déçu de moi alors je prend une grande inspiration regarde une dernière fois le vide et je recule pour aller rejoindre Nayla qui était en pleure puis Nassim nous rejoint, mes jambes flanches mais Nassim me rattrape a temps je le regarde dans le yeux et ne quitte pas son regard puis je dit

Moi : merci

Il ne me quittait pas du regard et je voyais dans c'est yeux qu'il voulait me faire comprendre que c'était tout a fait normal,a ce moment j'éclate en sanglot, Nassim me sert fort dans ses bras comme pour me dire qu'il sera toujours là et qu'il ne me lâchera jamais.

Fin du flashback 


Au jour d'aujourd'hui je sais qu'il ne veulent pas en parler parce que ils savent que c'était un moment très difficile pour moi c'est un peu comme un sujet tabou entre nous donc on préfère ne pas en parler

Nassim : ALLOOOOO Leila on te parle !!!!!

Moi : Ah oui pardon j'étais dans mes pensées bon je vous laisse je dois rentrer

Nayla : vas-y ok a plus

Nassim : fait attention sur la route

Moi : oui t'inquiète aller bisous

Je fais un bisou sur la joue de nayla et prend dans mes bras Nassim pour leur dire au revoir. Je commence à partir et je remarque que je suis en retard de 15 minutes pour rentrer à la maison. Normalement je doit être là bas à 20h pile. Putain je suis dans la merde ! Je commence à courir de toute mes forces à l'aide de mes petites jambes.
Puis je trébuche comme part pur hasard bien évidemment putain Leila c'est pas le moment grouille.

~~~

20h20 Villa principale :

J'arrive devant chez moi et j'ai un très mauvais pressentiment si seulement j'avais su j'aurais sûrement pas ouvert la porte. Je prend une grande inspiration et ouvre la porte à l'aide de mes clé. C'était silencieux beaucoup trop silencieux, je marche jusqu'au salon et c'est là que je vois mon père assis sur le canapé les points serrés et les sourcils froncés.

Moi : merde en murmurant

Nordine : rappelle moi l'heure d'une voix calme

J'aurais largement préféré qu'il crie ou qu'il me frappe au lieu de rester aussi calme sa sent vraiment pas bon pour moi

Moi : euh...

Ai-je vraiment le droit au bonheur ~Leila 🤍Où les histoires vivent. Découvrez maintenant