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"Pardonnez-moi, mon Père d'avoir choisi ma propre vie au détriment de la sienne, pardonnez cet acte égoïste... mais si c'était à refaire, je le referais sans hésiter.""
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Italie | Propriété de Dante Mancini Point de Vue : Alejandra
Le temps passa drôlement vite depuis mon installation en Italie.
Quelques jours après mon arrivé, Emilio était venu me voir en premier pour me parler et je lui avais proposé de nous installer sur la terrasse, à l'écart, pour discuter calmement afin que je lui révèle mon rôle au sein de l'organisation de mon père.
Il ne semblait pas me connaître et pourtant le regard qu'il avait posé sur mon tatouage ce chiffre 2 discret mais chargé de sens, en devenant livide m'avait troublé.
Peut-être faisait-il parti des nôtres ? Ou peut-être avait-il juste entendu des rumeurs. Je n'en étais pas sûre, mais dans les deux cas, j'espérais sincèrement qu'il garde le silence la dessus.
Je lui ai tout avoué.
Que j'étais la vice-présidente dans l'entreprise familiale. Ma position de Second dans le Cartel de mon père. Mes propres activités concernant la présidence de mes deux orphelinats, l'un au Mexique mon pays natale, l'autre en Chine créer pour couvrir certaines alliances que j'entretenais avec la triade chinoise pour le compte de mon père.
Et j'étais entrain actuellement entrain de réfléchir à implanter un troisième orphelinat dans un pays stratégiquement utile pour nos affaire qui me serrait avantageuse.
Lui avoué tout cela était primordiale pour moi car j'allais constamment faire des aller-retour entre mon pays natale et l'Italie.
J'étais une femme d'affaire et le second dans le Cartel de mon père si on faisait vite fait le point, j'avais énormément de responsabilités ce qui impliquait des multiples déplacements.
Donc je n'avais ni le temps de jouer à la femme au foyer et à la parfaite épouse, à moins que je prenne des vacances... mais ça c'était quasi impossible, car quand je pense que même en ayant intégré un couvant.
Mon père ne m'avait pas fait de cadeau en me libérant de mes obligations et fonctions, au contraire, il s'était assurer que je respecte mes engagements vis à vis de cette famille.
En me soumettant à cet ultimatum : ma famille ou mon égoïsme.
Emilio avait été surpris par ma transparence, que je lui avoue tout cela sans sourciller mais il fut compréhensif en disant qu'il allait transmettre le message à Dante.
Il savait, comme moi, que Dante ne voulait pas que je lui adresse la parole. Il était froid, distant vis à vis de moi, que je n'étais rien de plus que sa femme mais sur papier.