Narrow Street

𝕔𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝕦𝕟

Nous étions en en 1870, la Corée du sud pays doté d'une trés grande culture et richesse. Ses ressources était sans limite malheureusement chaque beauté à son coter sombre et en Corée du Sud elle était très connu.

Busan.

Une ville abandonné au fil du temps par l'état coréen lui trouvant aucun avantage financière ou économique. Alors on y a trouvé une autre utilité, la Corée du Sud voulait se donner une image parfaite, elle devait être parfaite, il ne devrait pas avoir de défaut. Et si nous trouvons des défauts ? Eh bien...il faudrais juste les laisser entre eux. Voilà ce que c'était le village de Busan. Tous les erreurs de la société s'y trouvait. Dans les rues se pavaner des prostitué, des échanges de drogue, des trafics d'humain, d'arme et d'organe. Partout où on allait on pouvait sentir l'odeur du sexe et du tabac en plein nez. Des voix criant leur peine et leur douleur pouvait s'entendre partout. Et pourtant ce village habiter une hiérarchie comme toute société et ici celui qui était au sommet était Hachima Yamagachi.

Le criminel le plus rechercher de la Corée du Sud.

Il dominé cette endroit comme sa poche. Étant le maître du jeu, il avait le pourvoir sur tout. Il grandissait son business tel des rats propager la peste. Il contrôler tout et tous le monde. Ses crimes lui rapporter énormément d'argent fesant de lui le patron de ce village jugé misérable.

Et moi, Jeon Jungkook. J'étais son chien.

Je lui obéissait tel un toutou à son papa. Mais sa me déranger pas. Un long soupir sortait de ma bouche, je fesait partis des erreurs de la société donc me voilà ainsi. Traversant les rues sombres et étroite, j'aperçevait autour de moi des femmes fumer, des hommes se battre pour quelques sachet que j'imagine était de la cocaïne. Des enfants voler des magasins. Mais ce spectacle n'était pas nouveau. Je remis bien ma capuche sur la tête et tire mes manches pour cacher mon bras une fois en face de chez moi. Enfin si nous pouvons appeler sa une maison. Les murs trembler au moindre bruit, les fenêtres était cassé depuis maintenant 3 ans et les murs délabrés. Je poussais la porte avant de me tourner vers le salon où je voyais ma mère assoupi sur la canapé. Un doux sourire apparu sur mon visage en la voyant. Mais j'ai dû la sortir de son demi sommeil car elle se releva se frottant les yeux avant de poser les yeux sur moi et de sourire. Mais ce sourire fut vite remplacer par une mine inquiète.

-Jungkook que t'est-il arrivé bon sang ?

Elle se précipite vers moi et enlève la capuche qui était sur ma tête pour prendre mon visage en coupe. Mon visage était rempli de blessure, des bleus et des coupures parcourait mes joues jusqu'à  mon cou. Elle ne dis rien et pris mes bras pour me faire  s'assoir sur une chaise. Elle partis pendant quelques secondes avant de revenir avec une trousse de secours. Elle se mit en face de moi analysant mon visage avant de faire ses soins.

-Qu'a tu fais cette fois  ?

-Maman...

-Répond moi.

Je gardais ne silence évitant son regard dur sur moi.

-Je t'en prie Jungkook, j'en ai assez que chaque soir tu viens avec des tonnes de blessures sur toi !

Elle arrêta d'étaler la crème sur mon visage et afficha un visage inquiet.

- Je n'en peux plus ! Te voir ainsi tous les jours ne fais que d'augmenter ma culpabilité ! Je-

-Mais ce n'est pas de ta faute ! Combien de fois que je dois te dire que tu n'a pas besoin de te sentir coupable ! Si je fais tous ça, c'est uniquement pour nous deux ! Pour survivre et puis toi aussi tu travaille pour de l'argent pour nous deux. Alors quel est le problème ?

-Le problème c'est que tu risques ta vie tous les jours. Tu sers l'homme le plus dangereux de ce pays et tu veux que je ne m'inquiète pas ? Bordel Jungkook, je ne suis qu'une serveuse dans un bar ! Je suis adulte, une mère ! C'est à moi de m'occuper de mon enfant pas l'inverse !

-Tu veux que je reste à rien faire alors que toi tu travaille à la sueur de ton front ? Ça m'est impossible de rester sans rien faire !

Ma mère se mit à se lever et pris soudainement mon bras avant de tirer la manche et de laisser apercevoir la grosse entaille qui saigner toujours.

-Voilà la différence. Regarde moi sa Jungkook, tu pense que c'est normal que tu sois ainsi. Je n'ai pas envie que tu paye de mes erreurs passées ! J'en ai déjà assez fait !

-De quoi tu parle ?

-Je parle du fait que je suis entrain de te condamné à une vie comme celle-ci a cause d'une erreur. S'il te plaît Jungkook écoute moi.

Sa voix se fit plus douce et elle caressa ma joue avec un regard coupable. Je m'en voulais qu'à peine rentrée nous discutons encore de cela.

-Maman...tu n'as pas à t'en vouloir. Il nous abandonné et a était un lâche. Tu était simplement amoureuse de lui. Et je sais que les sentiments ne se contrôle pas. Alors arrête de te sentir coupable.

Ma mère lâcha mon visage avant de pleurer dans mes bras. Je la serrais fort, mon cœur se contracta à la vue de ma mère dans cette état. Elle méritait tout le bonheur au monde. Mais le destin a était cruel avec elle. Ma mère est tombé enceinte de moi à l'âge de 19 ans. Mon père avait demander d'avorter mais elle refusa préférant prendre ses responsabilités. Cependant se fut la seule à avoir assumer ses actes. Mon père lui s'amusait avec d'autre femmes, buvait de l'alcool et se drogué tous les jours. Un jour que j'avais 14 ans un homme grand, les cheveux noir et des yeux bruns accompagné de plusieurs homme en costard sont venu chez nous.

C'était lui, Hamachi Yagamochi. Mon père avait une dette envers lui d'environ de milliers de won . Il n'a su remplir cette dette donc il s'est enfuie je ne sais où. Et ma mère et moi a dû payer ses dettes que aujourd'hui encore nous essayons de remplir. Je me suis mis à son service et effectuer chaque ordre depuis l'âge de mes 14 ans. Je devouais une grande haine à mon père de nous avoir abandonné ainsi et dans les pires conditions possible. Je me suis toujours promis qu'un jour je réussirai à effacer les larmes du visage de ma mère.

C'est en lui chuchotant des mots doux et la réconfortant que nous avons fini la soirée sur le canapé. Profitant de la chaleur de l'autre dans cette maison délabré.

Je la rendrais heureuse.

Et ça je ferais n'importe quoi pour y arriver.