vivre ou survivre ?

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coucouuuuuu 💗
Vous allez bien ? Moi ça va. C'est la première fois que j'écris, j'espère que vous allez aimer.
Je vous laisseeeeee
Bonne lectureeee mes starlettes 👑📖







Point de vue Elena:
je suis assise sur mon fauteuil en regardant una telenovela, cela fait 2jours que je n'est pas vu mon père ou qu'il ne met pas appeler pour me demander quoi que ce soit, peut être qu'il ma laisser des jours de repos. C'est très bizarre mon père ne rate jamais un de nos entraînements. Je suis coupées par la télé qui annonce les informations.
- Aujourd'hui, le narco-trafiquant Mario Alvara recherché depuis plus de 30 ans à été retrouver mort dans sa voiture. Nous n'en savons pas plus sur les causes de la mort.
Je reste sous le choque, mais je n'est pas pu m'empêcher de sourire. Je n'est zéro pitié pour mon géniteur qui vient de mourir, il ne mérite même pas un peu de peine. Mais mon sourire c'est vite effacé quand j'ai compris que si mon père étais morte cela voulais dire que...
Aujourd'hui Elena Alvara, deviens la seule et unique chef de la mafia colombienne.

19ans plus tard :
point de vue Mario Alvara:
Je perds immédiatement mon sourire quand ce hijo de puta me dis que dans le ventre de ma femme il y une fille. La blague. C'est impossible. C'est enfant ne peut pas être le mien, mais apparement si. Ma femme dégoûte et encore plus le bébé qui est en elle.

6mois plus tard:
Ma femme est entrain d'accoucher mon « enfant » qui n'est visiblement toujours pas un garçon. Car oui j'avais espéré que le médecin est fait une erreur et qu'en réalité c'était un garçon. Mais non.
-Vous voulez la prendre dans vos bras?
L'infirmière m'a sortie de mes pensées pour que je tienne ce truc ? Haha. La meilleure blague. Jamais je ne touche à ce truc à moins de lui faire du mal. Mon « enfant » me dégoûte a un point inimaginable.
-Non. Dis-je sèchement.
Le sourire de l'infirmière disparaît et elle me regarde avec incompréhension. Mais cette puta ne pourra jamais comprendre ce que ça fait d'avoir espéré pendant tout ce temps un garçon pour reprendre votre business pour finalement ce retrouver avec une fille. Vous vous rendez compte? UNE FILLE. Haha. Nan. A partir de maintenant je vais l'endurcir encore plus que je l'aurais fait avec mon fils.

11ans plus tard :
point de vue Elena :
Je viens d'avoir 11ans et aujourd'hui je suis officiellement devenue une âme vide, qui vit pour tuer et le sang qui coule.
2h avant:
Mon père m'appelle. Je ne sais pas ce qu'il me veut mais ce n'est pas bon signe. Je ne comprend pas ce qu'il me veut surtout un dimanche, mon seul jour de repos. Je descends les escaliers et tombe immédiatement sur mon père qui affiche un sourire plus que malsain.
-Ma très cher fille. Je t'attendais.
Il parle avec ce ton sarcastique que je déteste.
-Que veut tu ?
Je le sens pas mais bon. Je n'est pas le choix.
-Tu sais quel jour on est n'est ce pas? Tu n'as pas oublier j'espère.
Il a repris son image de personne sans humanité, sans cœur. Je commence à réfléchir mais je ne comprend pas. Je n'est rien à faire le dimanche à part me remettre de mes blessures et des entraînements de la semaine. Je souffle déjà à l'idée de penser aux entraînement qui m'attende. Je regarde le calendrier pour comprendre quel jour on est, j'écarquille les yeux et déglutis. Non. Non. Non. On est le 8mai 20** ce qui veut dire que c'est mon anniversaire. Un de pires jour de sa vie comme le dis si bien mon père. Et pour me récompenser de ce jour de malheur pour lui chaque année il me réserve un « cadeau ». Quand j'avais 7ans j'ai du rester toute une nuit seule dans une forêt à côté d'un cimetière. Et je suis presque sûr que c'est mon père qui a envoyer ces hommes me courser la nuit à 4h du matin. Je ne veut pas imaginer ce qu'il me réserve.
-C'est mon anniversaire aujourd'hui. J'ai 12ans.
Je commence déjà à trembler mais je réfrène c'est tremblement et essaye de paraître normale.
-Bien, tu n'as pas oublier. Tu sais ce qui ce passe le jour de ton anniversaire Elena? On va fêter le pire jour de ma vie. Tu me répugne tlm mi hija.
Je réfrène un sanglots. Je comprends pas ce que je lui est fait pour qu'il me déteste comme ça.
-Qu'est que tu me réserve, papa.
Il me répugne. Je le déteste TELLEMENT.
-Patience mon enfant. Suis moi.
Sec. Sans pitié. Dur. Malveillant.
Je le suis et nous entrons dans une pièce que je connais par cœur. Ma salle de box. Ce qui me fait tiquer, c'est que ces hommes sont plus nombreux que les autres fois. Ils sont dix, et pas trois comme à mon habitude. Ça sent pas bon. Je vais me faire massacrer de tout les côté. Encore une fois il a une chose que je comprend pas, je suis habitué à ce qu'on me maltraite.. Mais en général ce sont juste des manière de me recadrer ou bien pour me menacer.
-Ma petite fille. Aujourd'hui je vais tester ton endurance.
C'est tout? Je m'attendais à pire. Je suis habitué à travailler mon corps pour être plus endurante.
-C'est tout? Dis-je avec un ton lassé et blasé.
C'est beaucoup trop bizarre que je ne fasse que de l'endurance
-Tu est bien insolente mi niña. Tu vas comprendre que tu n'aurais jamais du exister. Mes hommes vont te frapper, te brûler, te couper, sauf que si tu ose pleurer, crier, sangloter, ou mm montrer un seul signe de douleur, tu seras puni.
Mon souffle se coupe. Je m'attendais à tout sauf à ça. Qu'est que je suis conne. Moi qui pensais que pour une fois dans sa vie mon père allait être clément avec moi. Quel erreur de débutante. Idiote.
Deux de ses hommes s'approchent de moi et me tiennent les bras. Ils viennent, me tirent les cheveux, me les brûlent. Il me frappent le corps comme si j'étais contre eux comme si j'étais un de leurs ennemis. Ils me coupent les veines du bras, des jambes, des cuisses, me font des coupures au cou. Au bout d'un moment je n'arrivais plus à endurais tout ça et j'ai une larme qui est tombée en même temps qu'un petit cri de douleur. Mon père a frapper dans ses mains et ses hommes ont arrêtés, je pensais que mon supplice étais finis. Mais quel erreur. Mon père me tirent les cheveux.
-Qu'est que j'avais dis? Hein Elena ?
J'arrive même pas à articuler un seul mot. J'ai trop mal.
-Tu a échoué tu me déçois. Enlevez lui ses vêtements et faites lui ce que vous voulez je m'en fiche.
Il avait dis ça en se retournant pour sortir. Je commence à réalisé que je vais me retrouver toute nue devant des hommes qui vont sûrement des choses que je ne veux même pas imaginer. Je commence à suffoquer. Non! Non! Non! C'est pas possible comment j'ai pu faire cet erreur.
-PAPA! NON! SIL TE PLAIT! TOUT MAIS PAS ÇA! JE TEN SUPPLIE...
Je tombe par terre et ses hommes viennent et je commencer à crier à supplier jusqu'à que je ne puisse plus respirer.
-Si tu te débat ou que tu te défends face à mes hommes, crois moi Elena que je te ferais pire.
Et la porte de la salle se referma.
- NON! JE VEUX PAS PAPA... qu'est que je t'ai fait pour que tu me déteste comme ça papa...
Je n'est pas pu m'empêcher de pleurer de crier. J'avais du mal à respirer. Quelqu'un s'approche, je commence à reculer mais les hommes qui me maintenaient me reprennent. Quelqu'un m'enlève mon tee-shirts, je dois pas être belle à voir avec tout ces bleus et brûlure. Je continue de pleurer, de crier et de supplier mais rien a faire. On m'enlève mon soutien gorge. Je me retrouve poitrine à l'air devant les hommes de mon père. J'ai l'impression d'être un bout de viande qu'on peut se permettre de manger. Et mon consentement... je veux pas. Ils s'approchent de moi pour finalement m'enlever TOUT mes vêtements. Je me sens dégueulasse, mon corps me dégoûte. Mais c'est ce que je mérite. Mon père m'avais prévenue. Quel bouffonne. Idiote. Ils commencent à me toucher, à malaxer ma poitrine, à les lécher. J'essaye de bouger mes ses hommes me maintiennent trop fortement. Ils continuent de me souiller. Je me sens sale. Tellement sale. C'est de ma faute. Tout est de ma faute. Ils me touchent, me palpent, me caressent. Partout. Ma poitrine, mon sexe, tout. Je regrette tellement d'être faible. Je veux plus souffrir parce que j'ai des émotions. Je réfrène toute mes larmes, mes sanglots, mes tremblements. Stop à partir d'aujourd'hui je vais devenir la personne que mon père a toujours rêvé d'avoir. Une personne sans émotions. Je ne pleurerais plus. Je ne supplierais plus. Je ne m'effondrais plus. C'est fini. Montrer ses émotions a été la plus grande erreur. Ils s'alimentent avec le malheur des gens, alors plus jamais je leur montrerais que j'ai mal. J'arbore un visage impassible qui a partir d'aujourd'hui ne me quitteras plus jamais. Montrer ses faiblesses est une trop grande faiblesses dans mon monde. Aujourd'hui, le 8mai 20**, Elena Alvara est morte de l'intérieur. Ce n'est plus qu'une personne qui vit parce que son père veut qu'elle vive. Je ne vit par parce que je le veut. Mais je survit parce qu'on me le demande.

Elena Où les histoires vivent. Découvrez maintenant