Reine

Chapitre 5 : Les vacances pt2

Je me fit réveiller par les rayons du soleil qui caresser mon visage. Je m'étira puis descendit boire mon café latte. Dans la cuisine, je trouva mon père entrain de faire des œufs brouillés, deux assiettes étaient disposés sur la table. Je fis mon café puis partit m'asseoir sur ma chaise attendant mon père pour commencer à déguster. Nous discutâmes de la pluie et du beau temps. Je lui raconta notamment toute les bêtises de ma grand mère, la dernière en date étant une fugue, hors la fugue fut de courte durée car elle avait foncée dans le grillage. Sympa comme grand mère non ?

Une fois fini, je fis la vaisselle, puis une fois terminé, je me prépara et je fis le topo de ce que je voulais faire aujourd'hui. Mon choix se porta rapidement sur de la randonnée, car oui mon père et mon ancienne maison sont perdus dans un tout petit village entouré de forêts et de plaines. Je décida donc de faire le chemin de randonnée que je préférais quand j'étais petite. Je dis au revoir à mon père puis sorti par la porte arrière de chez moi. Mon jardin donnait sur une épaisse forêt. Je me dirigea donc vers ce sentier abandonné. Je marcha, encore et encore jusqu'à atteindre le lac. J'avais tout prévu, j'enleva donc mon short et mon tee-shirt. En dessous j'avais enfiler mon maillot de bain. Je m'échauffa puis sauta à pieds joints. L'eau était froide mais une fois habitué cette dernière avait un effet relaxant. 

Je nagea jusqu'à arriver à l'autre rive. Puis je revient à pied jusqu'à mes affaires. Puis je fit marche arrière jusqu'à enfin rentrée à la maison. Une fois arriver je me doucha puis alla me coucher dans mon lit douiller. Cette séance de sport m'avait épuisé car on ne croit pas mais la nage c'est sportif.

Ellipse de quelque heures :

Je sentis une main me caresser mon visage. J'ouvris les yeux doucement, je vis le visage de mon père, ses yeux en forme de croissant de lune car il souriait. Bref mon papa quoi. Nous mangeâmes puis nous nous posâmes devant la télé à regarder les JO. Nous regardons la télé jusqu'à ce que l'un de nous s'endorme. Et bizarrement ce fut mon père qui gagna.