Un amour (im)possible II (Bardella x Attal)

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Point de vue Gabriel

10h du matin - chez Jordan

J'avais rêver de Jordan toute la nuit je ne savais pas si c'était le fait d'avoir été avec lui toute la nuit mais en ouvrant les yeux il n'était plus la, à la place il y avait une seringue et une lettre avec écrit mon prénom dessus.

        Jordan va manqué à ce monde

Quoi ? Ou il était ? Mon cœur battait à un rythme anormale qui aurait pu lui faire ça ? Qu'est ce qu'il avait fait pour ça ? 

Je pris la lettre, je me change vite fait et je me dépêche pour aller au commissariat.

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- Monsieur Attal ?

- Oui bonjour j'ai reçu cette lettre ce matin avec cette seringue et monsieur Bardella à disparut.

- D'accord je vais envoyé une équipe chez lui pour voir si il y a des traces ou quoi et je vais faire analysé la lettre et la seringue. Mais avant j'ai des questions.

Je le suis dans une salle d'interrogatoire il commença à me poser une tonne de question sur lui, son entourage, sur notre relation j'en pouvais plus je voulais juste qu'ils le retrouve.

- Merci pour votre coopération monsieur Attal.

- C'est normal mais s'il vous plaît retrouvé le.

- C'est notre travaille et nous allons tout faire pour.

Je lui fait un sourire poli et je rentra chez moi je ne voulais pas voir la police chez Jordan c'était trop pour moi.

"Bonjour Elisa je tenais à vous le dire moi même mais Jordan à disparu cette nuit, je ne viendrait pas au bureau aujourd'hui et si vous voulez prendre quelques jours de repos allez-y je sais que vous l'aimiez tellement malgré votre tromperie."

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J'étais chez moi sur mon canapé entrain d'attendre des nouvelles de la police mais rien juste une réponse d'Elisa.

"Quoi ? Comment ça disparu ? T'es aller voir la police ?"

"Bah oui logique je suis aller voir la police."

"D'accord tu me tiens au courant dès que tu as des nouvelles."

"Oui t'inquiète."

Je ne savais pas quoi faire en attendant des nouvelles de la police je voulais absolument savoir ou était Jordan est ce que cette lettre voulait dire que Jordan était mort sinon pourquoi il y aurait écrit il va manqué à ce monde ? 

Rien que d'y pensé j'avais une boule au ventre je venais de revenir et le cauchemar avait recommencer.

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Le lendemain 9h du matin

La nuit avait été horrible je n'arrivais pas à trouver le sommeil je m'inquiétais bien trop pour quand ça toqua à la porte.

- Bonjour monsieur Attal je peux entrer ?

- Oui bien sur.

Nous nous installons sur le canapé.

- Nous avons eu des nouvelles de l'enquête.

- Alors ?

- Déjà chez Jordan aucune trace c'est comme si il c'était volatilisé et pour la seringue il restait du produit à l'intérieur nous avons pu analyser ce qu'elle contient.

- Il y a quoi dedans ?

- Un produit assez fort pour endormir la personne qui le reçoit mais si la dose est trop forte il y a des risques d'arrêt cardiaque.

Je ne suis pas capable de répondre au policier en face de moi.

- Si vous avez des soupçon sur quelqu'un c'est le moment.

- Non... personne fin je crois pas.

- D'accord mais j'ai quelque chose d'autre hier vous nous avez dit que vous êtes assez proche de Monsieur Bardella ?

- Oui mais c'est quoi le rapport ?

- Nous avons revue votre déposition de l'autre fois et vous avez dit qu'il y a deux ans vous receviez des lettres anonyme de votre ex Mathys Rolz.

- Exactement mais ça veut dire quoi tout ça ?

- Vous avez aussi dit que trois personne était au courant de votre passé monsieur Bardella, Mathys Rolz et le président et que vous avez aussi un doute sur le fait que Mathys soit vraiment mort.

- Oui ?

- Et aujourd'hui encore vous recevez des lettres anonyme mais nous avons vérifier Mathys n'a pas pu simuler sa mort il y a nous avons vérifier au près de l'hôpital qui la reçu le soir de sa mort donc ça ne peux pas être lui.

- D'accord mais je ne vois pas qui ça pourrait être.

- Justement nous avons deux idées.

Je le regard je ne comprenais pas.

- Soit le président vous en veux mais c'est très peu probable car cela mettrais ça réputation et son rôle de président en question ou alors Jordan à simuler ça disparition.

- Quoi ? Non je n'y crois pas ce n'est pas possible.

- Pour nous aussi cela nous semble impossible mais nous continuons de suivre toutes les pistes possible dont celle la pour être sur.

Je ne répondit pas je regardais le sol les larmes voulaient coulée sur mon visage mais je ne pouvais pas il ne ma pas fait ça quand même ?

- Au revoir monsieur Attal je revient vers vous très vite.