Un amour (im)possible II (Bardella x Attal)

~8~

Point de vue Gabriel

Il était 18h30 j'étais toujours à Matignon à remplir mes papiers mais j'avais oublié que travailler ça fatiguait je décida de rentrer chez moi quand quelqu'un toqua à la porte de mon bureau.

- Bonjour monsieur Attal je voulais vous prévenir de la venue récente de monsieur Bardella.

- Ah bon ? Qu'est ce qui voulais ?

- Il cherchait Elisa.

- Ah bien sûr j'avais déjà oublier qu'ils étaient ensemble.

- Avec Elisa ? Mais je croyais que c'était vous qui était avec ?

- Quoi ? Comment ça ? Qui vous à dit ça ?

- Juste après votre départ des vidéos, photos et enregistrements ont fuités je pensais que vous étiez au courant.

- Ah... heu non merci de me l'avoir dit.

Il me fit un sourire gêner surement parce que il m'avait dit ça et il partit mais au même moment mon téléphone sonna.

"Gbariel je te détsete tu ma abadoné.

"Oula Jordan t'es bourré ?"

"nion"

C'était bizarre il n'avait jamais bu d'alcool au point de ne plus savoir écrire correctement je devais aller voir ce qu'il se passait, je pris mes affaires j'étais prêt à partir quand je vis le petit bout de papier avec la menace écrit dessus que je remis dans ma poche et je partis pour aller chez Jordan.

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Une fois devant chez lui je toqua mais il pris du temps à m'ouvrir surement parce qu'il chercher la porte. Deux minutes après il m'ouvre enfin.

- Qu'est ce que toi fait la ?

- Oula t'as vraiment trop bu.

Je le pousse doucement à l'intérieur de son appartement et j'entre je devais savoir pourquoi il avait autant bu alors que ce n'était pas dans son habitude.

Je lui pris le bras pour l'accompagner à sa chambre en le poussant légèrement sur son lit quand son téléphone qui était poser sur sa table de chevet sonne je jeta un coup d'œil c'était un message d'Elisa.

"Désolé Jordan revient je ne voulais pas."

Qu'est ce qui c'était passer ? Est ce que c'est pour ça que Jordan était dans cette état ? Je lui demanderais plus tard la je vais rentrer je pense ne pas avoir ma place ici.

- Bon Jordan je m'en vais bonne nuit.

- Non... reste la viens à côté.

Je ne savais pas si je devais rester comme il est bourré j'avais peur de sa réaction demain matin mais je m'installe quand même à côté de lui et il s'endort quasiment instantanément mais moi je restais la à le regarder dormir pendant des heures jusqu'à ce que la fatigue m'emporta dans un sommeil profond.