Chapitre 3: La réalité (NON CORRIGÉ)

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Je suis désolée Isaac... Mais maintenant je vais protéger ton peuple à ta place avec ma nouvelle maman..non! Notre maman!
J'ai tout perdu ce jour lá, mes parents, mes amis, ma maison.. j'ai même perdu t'as confiance et t'as gentillesse, je me souviendrai toujours de ton regard noir et désespéré... je t'ai perdu toi Isaac !

"Hé la marmotte on se réveille !" Une voix extérieure retentit dans les pensées de Nozia.

La jeune Nozia ouvre lentement ses yeux et observe la dame en face d'elle.

Cette dame avait des yeux jaunes, des cheveux noirs avec des méches vertes, des cros et des cornes, mais a peine qu'elle remarqua la belle au bois dormant se réveiller, ses cornes
disparaissent, ses yeux tournaient au vert et ses cros se résorber.

"Tu sais Claire.. tu n'as pas besoin de te cacher quand je suis là." Nozia parle d'une voix douce, cette belle jeune fille de 6 ans est devenue une magnifique fleur de 17 ans qui a éclos, elle était
libre.

"Appelle-moi maman Nozia, après tout je te considère comme mon enfant" répondit cette dame du nom de Claire.

"D'accord Maman !" Nozia prononcea ces
quelques mots avec une légèreté et une
douceur impensable pour une rescapés d'un génocide.

"Tu sais mon enfant, je t'ai entendu parler de lsaac dans ton sommeil" claire faisait ressentir une grande tristesse et une grande compassion que ça sois envers Nozia ou encore envers elle-même.

“Je me demande se qu'il pense réellement de moi, ses mots.. ses derniers mots...les pensait il
vraiment ?..." Ça s'entendait dans la voix de cette dernière qu'elle avait les larmes aux yeux avec, une grande tristesse et une grande culpabilité.

"Tu sais ma fille, Isaac a dit ça sous le coup de la peur et du désespoir... Jamais il ne l'a vraiment pensé et ce n'était qu'un accident que tu les ramènes, mais malheureusement, ce cirque est composé des rescapés des génocides que les
humains provoquent.” Claire était très sérieuse.

"Sache une chose mon enfant, si c’ était
vraiment de ta faute je t'aurais déjà ôter la vie grace á mes cros et à mes griffes. Je n'ai aucune pitié pour les traître. Après tout j'étais et je serai pour toujours la mère de sang de lsaac."

Claire sait se faire comprendre, elle sais
tellement se faire comprendre que Nozia en avait peur quand elle dit ces mots avec un ton glacial, légèrement sadique et menaçant.

NoziaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant