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tout le monde essaya de me lever mais rien a faire je retombais

ismaël : lève toi haychek on va aller le voir à l'hôpital la
moi : il va bien ?
tata mifalda : oui enfin sa va il n'a pas voulu écouter sa famille et n'a pas mis son casque
moi : comment vous savez si il va bien la ?
tata mafilda : le docteur nous l'a dit il devrait bientôt de se réveiller inshallah
moi : sa va al hamduilah
tata magilda : oui ma chérie viens avec moi on y va

je rentre dans la voiture avec ma mère ma tante et ma cousine.
arrivé à l'hôpital le docteur nous guide pour la chambre je m'arrête devant la porte stresser et j'hésite, je suis pas prête à le voir dans cet état.
j'entre, je le vois et lui aussi, al hamduilah il est réveillé et je vois qu il a l'aire d'aller bien, mon frère mon tonton et mon cousin étaient là et mon père venait de sortir il devait aller au travaille d'urgence.
je cours à son lit et l'enlace

moi : tu vas bien ?
rayan : oui al hamduilah
moi : qu est ce qui c'est passer ?
rayan : j ai accéléré dans un virage et..
moi :t avais ton casque ?
rayan : nan

je le frappe

rayan : vas y arrête tu fais quoi la, j ai déjà assez mal inès
moi : m'en fous sa fait 10 fois que je te dis de prendre ton casque
rayan : ouais je sais désolé, je le mettrai
moi : promis ?
rayan : promis, tu sais j ai eu plus peur pour mon bracelet que pour moi
moi : à oui, regarde moi jamais je l'enlèverai
rayan : ne tiens pas une promesse que tu ne peux pas tenir
moi : bah si je te le promet rayan
rayan : avec le foot c'est compliqué
moi : mais nan juste à mettre un strap et c'est tout
rayan : ouais ok, mais moi je le retirais jamais même dans ma tombe, je te le jure
moi : moi aussi

j'étais contente qu'il aller bien mais bon il était 17h30 et rayan m'a dit qu il fallait que j aille à l'entraînement d'ailleurs ce soir c'est avec les u19 pas avec les pros le coach des garçons u19 NAT a voulu que je fasse au moins 1 entraînement 1 semaines /2 avec eux et j'ai accepté. pour ce qui ne save pas ce que veux dire NAT c'est NATIONAL, le championnat national.
j'arrive à l'entraînement, maintenant je connais un peu tout le monde.
***
a environ 10/15 minutes avant la fin je voie mattéo arrivait et se met les bras croisé sur la rand barde à attendre et à me regarder.
dès que je l'ai vu il m'a sourit et j'ai fait de même, sa me faisait du bien juste de le voir sans même lui dire bonjour, il m'avait manqué ce petit batard, sa va faire 2 semaines qu'il est parti.
***
a la fin je sors et j'étais avec mathis d'ailleurs lui et moi on s'est beaucoup rapproché, c'est un peu comme mon frère, je dis sa parce que je vous voie venir.
j'ai a peine passer le portails qu'il est venu me prendre dans ses bras, sa ma fait énormément du bien et plaisirs, j avais besoin de réconfort de son réconfort à lui et que lui.
on se lache et il me fais un bisous sur la joue, mbb qu'est-ce que je l'aime, mais je sens un regarde sur nous et c'était mathis je lui avais dis que fav et moi sa allait beaucoup mieux il était content mais quand j'y repense vu comment on s'est attaché j'ai peur qu'il est des sentiments sur moi, le pire se serais qu'il me dit qu'il m'aimais depuis que je suis en seconde et si vous avez bien suivi l'histoire, je l'aimais depuis la seconde mais favé a débarquer beaucoup plus décisif que lui et m'a appris à l'aimer ce qui a fait disparaître mes sentiments pour mathis.
enfin pas tous.. quand je suis avec favé je suis réellement une princesse, il prend énormément soins de moi surtout depuis notre dispute, il a peur de me re perdre. maintenant le problème avec mathis quand je suis avec lui j'ai la sensation s'être plus libre d'être moi même plus qu'avec favé et quand on se croise il aura toujours le moyen ou la raison de me touchée par exemple on se chek ou quoi, mais juste ce petit truc me fais une sensation, j aurais aimé ne jamais avoir cet attirance envers lui..

favé : tu dors chez moi ce soir ?
moi : nan désolé je peux pas j'ai eu un soucis avec ma famille
favé : a merde c'est quoi ?
moi : rayan a eu un accident
favé : putain comment
moi : il avait pas son casque et il a pris le virage sec et il est tombé mais la sa va il est à l'hôpital
favé : a ok il a fait sa quand
moi : aujourd'hui
favé : tu es aller le voir
moi : oui
favé : tu veux y retourner
moi : oui si tu veux, t façon demain je commence à 11h donc hessoul
favé : ok vas y je t attend
moi : t venu comment ?
favé : en taxis
moi : tiens c'est mes clés met toi dans la voiture
favé : vas y merci

n'en parlons pas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant