𝟓𝟔.

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                                         HÔTEL THE RED SEA

Nous venons de rentrer à l'hôtel je n'arrive toujours pas à m'en remettre il m'a offert cette magnifique mosquée pour me remercier de lui avoir offert une magnifique fille et pour ce faire pardonner.

14h


Emir viens de se préparer il est tous beau tous propre.

Moi : Tu va en voir une autre ou c'est comment ?

Il émet un rire.

Emir : Pas qu'une.

Je le regarde étonné, comment ça pas qu'une.

Emir : Ça va je rigole, va pas me tuer avec t'es yeux.

Moi : Rien ne t'empêche, tout comme moi.

Mon souri est narguer.

Moi : On ne rigole plus ?

Emir : Fait la maline, on verra qui perdra.

Moi : Tu veut jouer ?

Il hoche la tête.

Moi : Le premier qui pose le regard sur l'autre avec envie perd.

Emir : Très bien, que le meilleur gagne.

Il me sert la main.

Vous savez très bien ce que je vais lui faire subir, il pense que je suis plus faible que lui. LOL

Emir : Va te préparer on sort faire un tour.

Je hoche la tête puis je me rétracte.

Je pars prendre une douche puis je me crème, et m'habille.

J'enfile une abaya bien longue et ample, blanche ainsi qu'un voile rouge. Je me maquille léger puis je met des talon blanc.

Moi : Je suis prête.

Emir : Putain, t'es trop belle ma princesse.

Je souri, que le jeu commence.

Moi : Fait attention à t'es yeux monsieur.

Il détourne le regard puis viens me prendre la main pour qu'on puisse sortir .

Sur la route Emir commence à serrer de plus en plus fort le volant. Sa me perturbe mais j'essaye de ne pas faire attention.

Mais c'est plus fort que moi.

Moi : Il y a quelque chose qui ne va pas ?

Emir : Y'a une voiture qui nous suis, tu gère le volant et je tire sur les roues.

Moi : Mon angles est beaucoup mieux pour visé alors occupe toi du volant.

Emir : Je n'ai pas le temps pour m'amuser je t'es demander quelque chose, obéis.

Pardon ?

" obéis "

J'suis son chien ? J'ai les larmes qui me montent, ses mots me blesses mais je ne veut pas lui faire montrer.

Je manipule donc le volant en ayant les pensées ailleurs.

C'est la première fois qu'il me parle comme ça, je suis blessé je sens une épine dans mon cœur qui sera dur à retirer.

Les bruits des tires me font émettre dans la vie réel.

Une fois qu'il a tiré il reprend la possetion du volant sans dire un mots.

Moi : Je veut rentrer chez moi et revoir ma fille.

{ 𝐃𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐚𝐮 𝐝'𝐞́𝐦𝐢𝐫 }



𝐄𝐙'Où les histoires vivent. Découvrez maintenant