Karen Liprox

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.Victoria.

Bipp bipp bipp
Le bruit inceste de mon réveille me sortant de mon agréable sommeil. Il m'annonce qu'il est à présent six heure du matin, ce qui me fait me lever rapidement de mon lit.
Je l'éteint puis part en direction de la salle de bain pour prendre une douche.
Je m'habille malgré les courbatures qui parcourt mon corps par la faute de la course intensive d'hier dans les bois.
Après cette douche ma fois plutôt douloureuse je m'habille de ma tenue de boxe, je pars en direction de l'ascenseur qui me fait descendre un étage plus bas.
En arrivant je pars en direction de la salle à manger, j'y remarque alors la présence de nombreux soldats qui en me voyant arrivé, me salue un par un d'un geste de tête.
Je pars m'asseoir avec eux puis me serre un bol de flocons d'avoine accompagné d'un verre de jus d'orange. Après le déjeuner, je reste un peu, afin de discuter avec les soldats de la missions que mon père m'a confié précédemment.
Nous parlons donc de mon plans pour mademoiselle Karen Liprox.
Mes explications terminée, je m'extirpe de la salle en direction de la salle d'entraînement où j'ai pour heure de rendez-vous
huit heure. En arrivant je constate mon avance une demi heure d'avance.
Ne voyant encore personnes dans la salle, je décide de commencer à m'échauffer.
Quelque minutes plus tard, je suis rejoins par Igrok et quatre soldats à ces côtés.
Miortek, Piotr, Michal et Niko, qui me salue à tour de rôle par une poignée de main.
Igrok reste en retrait avant de me demander sur un ton froid.

- Que fait tu déjà là ?
- Je t'attendais.
Il ne réplique pas, son regard me scannant avant de poursuivre.
- Je vais m'échauffer
- Parfait.
Je ne peux enlever un petit sourire amusé de mon visage.
Après une demi heure d'attente de ma part et d'échauffement de la sienne, nous décidons de débuter le combat en vue de la foule qui est déjà là.
J'enfile des bandages autour de mes poignées avant d'enfiler mes gants de boxe ainsi que mon protège dents, Igrok fait de même. En jetant un coup d'œil autour de moi, je vois mon père ainsi que un de ses capos Pawel. Un grand homme brun, yeux bleu foncé.
Comme arbitre, nous avons Niko l'un des soldats qui accompagner Igrok lors de sa venue. La pièce rempli à présent.
Lorsque le début du combat est annoncé, je commence à analyser la façon dont ils se comportent et comment se déplace-t-il.
Il s'approche de moi, en position de garde, avant de me mettre un coup de poing dans la mâchoire. Ce à quoi je réponds par un coup de genoux dans ses abdos qui se contracte sous le choque, ce qui lui vaut une mine de douleur.
Pendant les prochaines minutes, il va continuer les coups dans ma mâchoire ne me faisant que peux réagir par une mine de gênes.
Je vais malgré mes quelques douleurs dans la mâchoire, réussir à lui infliger quelques coups qui je vois le fatigue de plus en plus.
Ça fait maintenant une trentaine de minutes que le combat a commencé, je n'arrête pas de mettre des coups, lui non plus.
Mes bras commencent à fatiguer ainsi que mes jambes qui était déjà pas mal courbaturé ce matin même, mais je le sais très bien, le combat ne s'arrêtera pas tant qu'un des deux n'est pas KO ou n'abandonne.
Ma fatigue se fait ressentir de plus en plus, je vois également dans ses yeux la fatigue, mais la détermination de gagner le combat prends le dessus sur lui.
Après une dizaine de minutes de fatigue, je me jette sur lui afin de le mettre par terre.
En quelques secondes, il arrive à me retourner faisant en sorte qu'il se retrouve au-dessus de moi, m'immobilisant au sol.
Son bras bloquant, mes mains, son genou postés sur ma cuisse gauche, qui m'ai extrêmement douleurese. Après une quinzaine de minutes dans cette position, je n'arrive toujours pas à m'extirper, par manque de force de ma part, qu'est-ce qu'il m'arrive ?!. La fatigue prend peu a peu le dessus sur moi. Dix minutes plus tard, je n'ai toujours pas bougé toujours bloqué par son bras et ses genoux s'appuyant maintenant sur mes deux cuisses. Je prend la dure décision de taper du point par terre, trois cou, afin d'annoncer ma défaite. Igrok me tend la main afin de m'aider à me relever, ce que je refuse. Il sort donc du ring. Les soldats présents le félicite.
En me relevant, j'aperçois le regard de mon père suivit de celui de son underboss, déçu du combat que je viens de leurs proposer. J'ai horreur de perdre, car je ne suis pas habitué à la défaite, mais à la gagne.

Enemy MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant