Un amour possible III (bardella X Attal)

~7~

Point de vue Jordan

J'arrive devant l'Elysée, je descend de la voiture et je m'avance de l'entrer, Gabriel m'attendait devant j'essayais de ne pas sourire pendant que lui avait un regard sérieux.

- Dépêche toi je ne veux pas m'éternisé sur ce rendez-vous qui ne sert à rien.

- D'accord je te suis.

On monte à son bureau plus on avançait plus je stressais et je sent que c'est pareil pour lui, on arrive devant la porte je l'entend soupirer avant d'ouvrir il s'installe à sa chaise et je m'assied sur celle d'en face.

- Bon pourquoi tu as voulu me voir ?

- Pour te parler.

- Bah je m'en doute je suis pas con, dépêche toi.

- Heu... oui, bon je voulais m'excuser.

- Donc ta pris un rendez-vous que pour ça ?

- Non pour tout t'expliquer.

- Je ne veux pas d'explications c'est bon merci quand même.

- Gabriel soit mature un peu et écoute moi je te demande cinq à dix minutes maximum.

- Bon dépêche toi.

- Il y a deux ans j'étais à un bar en bah de chez toi et j'avais entendu une femme parler assez fort et en me retournant elle te ressemblais beaucoup bref je ne lui ai pas parler et quand tu es partis de la ville après la mort de Mathys elle à pris contacte avec moi pour me dire que tu n'étais pas bien mais moi je ne pouvais rien faire tu ne me répondait pas.

- Donc si je comprend bien elle ne m'a jamais dit qu'elle t'avait parler et toi ça ne t'ai jamais venu en tête de me le dire ? Tu te fou de ma gueule ?

- Ecoute moi ! Donc quand tu es revenu quelques jours après elle est arriver à Paris pour me voir elle avait peur pour toi et quand Emmanuel est partit en prison elle savait qu'il y aurait de nouvelle élection normal et elle sentait que c'était toi qui allait participer et elle a peur, peur pour toi.

- Bah non il n'y a pas à avoir peur et ça tu vois c'est gentil de sa par le fait qu'elle s'inquiète pour moi mais ce n'est pas ça que je vous reproche c'est de m'avoir cacher qu'elle était la alors que c'est le seule parent qu'il me reste mets toi à ma place.

Je n'arrivais pas à répondre il avait raison j'ai fait n'importe quoi, j'aurais du lui dire mais bon ce qui est fait est fait et c'est trop tard.

- Jordan... s'il te plaît part, la pour le moment je ne veux pas... on se reverra dans les prochains débats pas plus.

- D'accord.

Je me lève de la chaise en regardant le sol j'était dévaster mais avant de quitter la pièce je me retourne vers lui et je le regarde.

- Gabriel... je suis vraiment désolé, sincèrement désolé.

Il ne me regarde même pas je suis déçu, vraiment déçu mais bon... je travers l'Elysée en retenant mes larmes pour atteindre la voiture plus loin, j'entre dans celle ci je regarde mes pieds et une larme coule sur ma joue.

- Jordan qu'est ce qui se passe.

- C'est fini...

- Quoi ?

- Avec Gabriel.

Elle me prend le visage et me le tourne pour que je la regarde.

- Jordan ne t'inquiète pas tu vas surmonter ça.

J'approche mon visage du sien et elle recule.

- Nolwenn...

- Non je ne veux pas être une roue de secours si un jour tu veux vraiment m'embrasser je veux que tu ressente vraiment quelque chose.

Je la regarde dans les yeux... bien sur que je ressentais un petit truc pour elle... je suis complètement perdu !

Point de vue Gabriel

Je n'arrivais plus à travailler, j'avais notre conversation en tête même si c'était gentil de leur part quand même y avait pas à me cacher ça !

J'avais mon stylo dans la main je ne sais même plus quoi écrire sur mes feuilles quand la porte s'ouvre je regarde qui sait.

- Bonjour monsieur Attal j'ai vu Jordan Bardella ressortir dans un sale état tout va bien ?

- Appelle moi Gabriel et oui ne vous en faites pas Stéphane.

- D'accord si il y a besoin n'hésitez pas.

- Merci.

Je lui sourit et il sort de mon bureau, je regarde mes fiches j'en avait marre... quand mon assistante entre dans la pièce.

- Un problème Mélanie ?

- Non aucun juste pour venir vous aidez à préparer votre interview de se soir.

- D'accord merci pour votre aide.

On travaille sur l'interview de se soir l'après-midi passe très vite quand Mélanie reçoit un appelle.

- Monsieur votre voiture est la.

- Parfait merci.

Elle me fait un sourire et je me lève pour rejoindre la voiture direction les studios TF1.