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Salam Aleykoum, vous allez bien ?

Le lendemain je me suis réveiller vers 13h, je faisais que de cogiter par rapport à ce qui c'était passé la veille..

Quand je me suis réveiller j'ai été directement dans le salon y avait Inssaf.

( ma petite sœur )

Moi : helow belgos

Elle : coucou

Moi : ça va ?

Elle : Al HamdouLillah et toi ?

Moi : ouep ça va Al HamdouLillah, elle est là maman ?

Elle : non elle est partie au marché faire quelque course.

Moi : okey

On regardé la télé y avait pas trop grand chose à faire.

Moi : viens on sort hefek je m'ennuie.

Elle : tu veux sortir ou ?

Moi : j'sais pas ou tu veux.

Avec ma sœur on était pas supeeer proche mais sa changer en rien que sa resté ma petite sœur et que j'passe du temps avec elle, on l'entends pas trop dans la chronique puisque on a pas le même âge et elle est toujours calme dans son coin.

Elle devait avoir 14 ans et j'en avais 18..

Moi : on va manger ?

Elle : je suis chaude sah.

Moi : vas-y bah on ce prépare et on bouge.

Je voulais l'emmener manger et ensuite voir Marwane à l'hôpital sa serait comme une mini « présentation » mais pas dans le plus beau des endroits..

Je vais vous passer on a été mangé dans un grec pas très loin du quartier.

Moi : on va voir marwane à l'hôpital ?

Elle : hein, Il fait quoi à l'hôpital même ?

Moi : longue histoire.. tu veux ou pas ?

Elle : vas-y sa me dérange pas.

Moi : super

Alors on a prit le métro qui nous ramener directement devant l'hôpital.

On est monter dans sa chambre, y avait les visites il devait être vers 16h de l'après midi.

J'ai toquer avant de rentrer, quand je suis rentré il était entrain de discuter avec une jeune infirmière ???? Je l'ai questionné du regard, elle devait être là en formation ou je sais pas, elle avait l'air d'être super jeune.

Infirmière : je vais vous laisser.

Et elle nous a sourit.

C'est sa casse toi connasse.

Inssaf : je vais au toilette j'arrive.

Moi : tu joues à quoi ?

Il s'y attendait pas qu'on allait arrivé, je l'ai pas prévenu et j'avais qu'une envie c'était de repartir.

Et ils parlaient même pas de son état ou quoi.

Lui : tu prends la haine pour sa ?

Chronique de Camelia « Mon Mektoub »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant