Le match terminé, on avaient gagné 2-0, la ligue avaient bien commencer pour nous. Quand on avaient fini de célébrer, je regardais nos supporters dans les gradins, il y avait une silhouette qui me disait quelque chose, plus je regardais plus je la voyais elle. Elle avait porté un maillot PSG avec un legging et une sacoche noire plus une casquette, elle était avec les gars que j'avais vu la dernière fois au tournois. Elle ne m'avait pas vu. Elle prenait des photos avec une fille qui je suppose était sa pote. Son sourire était tellement beau que j'en perdais mes mots. Parmi les milliers de personnes qui étaient dans le stade il n'y avait qu'elle que je voyais. Le destin est vraiment imprévisible.
Ah la la petit papillon
Elle c'est levée pour s'en aller, en se retournant j'ai vu qu'il y avait marqué numéro 2 et le 2 c'était le numéro marqué également dernière mon maillot. Comment exprimer la joie qui m'animait, je l'ai juste regarder sortie des gradins. J'étais heureux qu'elle est mis mon numéro derrière son maillot.
Le 2 pourquoi ?? Tout simplement parce que je suis né le 2 septembre et ma mère aimait énormément le chiffre 2 alors je l'ai honoré en mettant le 2 derrière mon maillot.
Bref, le soir je suis rentré à la maison, je me suis lavé. Je devais me rendre chez les parents de Samira. Alors après m'être lavé j'ai porté une tenue comme ça...👇
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J'ai pris mes clés et j'ai pris ma voiture et direction chez les parents à Samira. Une heure plus tard j'étais arrivée dans leurs Villa.
Un garde m'a ouvert la porte et je suis entré. Après avoir sonné trois fois, c'est une dame qui m'avait ouverte.
Moi: bonsoir Madame.
Elle: Bonsoir Mr BenSaïs vous pouvez entrer.
Moi: Merci.
J'ai infiltré la maison et elle m'a conduit jusqu'au salon principal. Arrivé au salon ils y avaient les parents de Samira, ses frères et sœurs et elle même.
Moi: Salam aleykoun
Eux: Aleykoun salam
Le père de Samira me regardait et je l'ai regardé de même, je me suis assis en face de lui à côté de Samira qui avait les yeux gonflés, j'ai voulu lui demander comment est ce qu'elle allait mais j'avais même pas eu le temps d'ouvrir la bouche que son paternel avait déjà entamé la discussion.
