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Lui

Quand je l'ai vu Elle j'étais un étonné mais vas y on se voyait presque partout maintenant. Elle était tellement belle dans cette tenue, à vrai dire je l'a préférais quand elle portait des tenues comme ça, et la couleur lui allait à merveille.

Mais il y avait un p'tit bémol, c'est qu'elle avait la même mine quand je l'avais vu récemment, elle était ni heureuse ni triste, elle était peiné sa je le savais mais qu'est-ce qui l'a rendait si triste c'est la question que je me posais. J'aurais tout donné juste pour savoir ce qui l'a rendait si triste. J'aimais son sourire et l'a voit comme ça me rendait impuissant.

Sans même m'en rendre compte j'étais entrain de l'a dévorée des yeux, c'est mon oncle qui m'a fait revenir sur terre en claquant des doigts.

Moi: hmm désolé khali j'étais dans mes pensées, tu disais ??

Lui: je te présente Oum Djamila ma filleule, et Djamila lui c'est Rahim le fils d'un cousin.

Si seulement tu savais
L'effet que ta filleule me faisait rien qu'avec ses yeux.

Tout deux avons juste hoché la tête, certe nous étions dans une mosquée mais j'arrivais pas à baissé le regard, je l'a mangeait des yeux presque. Pour la première fois depuis que l'avait vu j'avais des envies obscènes, je m'imaginais sur son corps, je m'imaginais entrain de lui faire des dinguerie sur un île paradisiaque.

Je te désirais p'tit papillon

Elle: Tonton je peux te voir en privé ?

Lui: Ok, Rahim je te reviens.

Ils se sont éloignés pour parler. Ils ont pris au moins trente minutes à se parler. En revenant elle avait le visage plus ou moins détendu, je ne sais pas ce que mon oncle lui avait dit mais le fait de l'a voit détendue me rendait heureux. Arrivé à mon niveau elle m'a Salam et s'en est allé sans me lancer un regard, c'était compréhensible nous étions dans la maison d'Allah. J'aimais son côté pudique. Je l'ai regardé sortie jusqu'à ce qu'elle disparaisse de mon champ de vision.

Mon oncle: Rahim

Je venais de redescendre sur terre après quelques minutes dans les airs.

Moi: hmm

Mon oncle: je t'ai toujours dit qu'on ne regarde pas une femme qui n'est pas sienne, quand on voit une autre femme on baisse le regard.

Moi: désolé.

Lui: tu l'as connais ? vu le regard que tu lui as lancé.

Mentir ou dire la vérité, dans tout les cas si il s'avérait qu'elle devienne ma femme c'est lui qui nous aurait uni alors j'ai hoché la tête en guise de réponse.

Lui: comment ??

Moi: c'est une longue histoire.

Lui: j'ai tout mon temps.

Moi: une prochaine fois-

Lui: Rahim je n'étais peut être jamais vu amoureux mais je sais reconnaître un homme amoureux et vu le regard que tu lui as lancé sa se voit que tu l'aimes, tout ce que je te demande c'est de ne pas lui faire de mal et de ne pas être dans le Haram, si tu l'a veut marie la mais je ne veux pas de Haram, Djamila c'est comme ma fille, son père était un bon ami à moi.

Oum DjamilaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant