Chapitre 10

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Penda Guissé...

Ma patronne qui venait de sortir de chez mes parents en me souhaitant un prompt rétablissement m'a glisser un billet de banque pour disait t'elle une boite de Ferrero rocher et que je me remets vite puisque je m'en à la boite. Je la remercie gêné avant qu'elle ne parte, je ne pouvais la raccompagner, la honte que je me suis taper à son arriver ne me quitte toujours pas et ne risque de me quitter de sitôt. Tout ça à cause de ma mère, qui toujours ce fait un malin plaisir de me mettre à bas devant les gens et je suis fatiguée de tout le temps lui demander pourquoi se comporte t'elle ainsi avec moi.

Maman: teudeu rek teudeu rek thim melni diebeul béss, loutax amo fouleu rek diaxal nama, souma xamone ni nii ngay niaké diom binga dioudo lalay xodj nga dé (toujours coucher, tu ne sert vraiment à rien, si je savais que tu serait devenue si inutile j'allais t'étrangler lors de ta naissance. Dit t'elle devant la porte de ma chambre.

Moi : je t'en veux de ne pas l'avoir fait, je n'aurai pas à vivre et supporter ce que tu es entrain de me faire subir. Dis je sur un ton mélancolique .

Maman : may wakh ngamay tontou ? Tu me répond impolie ? Me dit t'elle en me lançant sa chaussure qui atterrie sur ma tête.

Elle sort de la chambre furieuse en laissant la chaussure dans la chambre, sachant que je la lui ramènerais comme d'habitude.

Dalila: ne lui en veux pas, elle ne veut que notre bien. Dit ma sœur en entrant dans ma notre chambre bien habillé.

Moi : facile à dire si on est la chouchou de la maman, tu vient d'où avec tout ce maquillage, ta robe est plus vulgaire que la coiffure de Niky Minaj. Lui dis je dans une grimace alors qu'elle rigolait .

Dalila: nii lako sama farr bi beugué ( c'est comme ça que mon homme le veut) . Dit t'elle en faisant des manière, ces manière que je n'ai jamais su pourquoi elle les faisait.

Moi : de toute façon je n'ai jamais compris son manque de gout vestimentaire, tellement flashy et tu as perdu ton gout en chemin avec lui.

Dalila: tant qu'il me donne de l'argent je peux porter tout ce qu'il veut. Dit t'elle en riant .

Moi : Qu'est ce que notre mère a fait de toi ? Lui dis je tristement .

Dalila : mdr ne t'inquiète pas grande sœur chérie, je sais prendre soin de moi comme une grande fille. Dit t'elle en me faisant un bisou sur la joue. Oh j'avais oublié, y a une belle dame dans le salon avec maman, elle dit être ta patronne, maxala danga bari wakh. Me charrie t'elle pendant que je stressais . Ma patronne ? Que fait t'elle ici ? Avec ma mère de surcroit ?

Je me lève brusquement oubliant que j'avais le vertige et mon maux de tête puis me rend dans le salon palpitante.

Maman : ah tu es enfin là, cet enfant comment elle aime se faire désirer. Dit t'elle avec dégoût .

Moi : bonjour Mlle Gueye, comment vous allez ? Que faites vous chez moi enfin je veux dire comment savez vous ou j'habite ? Que ce passe t'il ? Rien de grave j'espère ?

Maman : yéne xalé bi kagn lay kham waxine ? Commence t'elle .

Moi: maman s'il te plait pas devant les hôtes. Dis je suppliante .

Seeyi Wala Sééty ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant