Chapitre 1

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Pdv de la narratrice


*La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.*


De l'eau avait coulé sous les ponts. Quatre mois pour être exacte étaient passés néanmoins certaines douleurs restaient aussi vive que le premier jour ou on les connaissaient. Un terme bambara disait qu'une blessure ne se guérissait pas sur du pus et notre chère Maïmouna comprenait le sens de ces mots comme personne à ce jour.

-Maï il faut que tu manges tu dois penser à Seydina...; essaya de la raisonner sa belle sœur

-...(Snifff)...Amina je pense à Seydina et c'est ce qui me met dans un état pareil. Cette sorcière est capable de lui faire la même chose qu'à ma petite rama...(pleure)...et je ne le supporterai pas...;

-Elle n'osera pas refaire un truc pareil sans que tu sois au courant...; repris cette dernière pratiquement en larme

-Elle va le faire, cette femme est une envoyé de Satan Amina. La seule chance pour qu'elle ne renouvelle pas son acte est qu'elle réponde devant la justice. Abdoul ye monè don na sa(m'a laisser sur ma faim, *ou *ma fait du tord)...;

-Ne dit pas ça s'il te plait Abdoul aussi a perdu sa fille. Il voulait juste laver le linge sale en famille, que diras tu à ton fils quand les mauvaises langues lui diront que sa mère à mis sa grand-mère en prison...;

-Amina que lui dirai je quand il me demanderas comment est morte sa grande sœur. N'essaye pas de défendre l'indéfendable. Tu ne pourras jamais justifier l'acte de Mariama, ne me demande pas de justifier ça. Je ne pourrais jamais oublier le petit corps frêle de ma fille recouvert du drap blanc qui témoignait la réalité des faits...; témoigna Maï les yeux rouges à force d'avoir pleurer


Pdv de Maïmouna Barry


***Flashback***

*4 mois plus tôt*

-Mr roulez plus vite s'il vous plait...; déclarais je entre deux sanglots

-Mme je fais ce que je peux, ne vous inquiéter pas on est bientôt arriver...; répondit ce dernier pour la nième

Ne pas m'inquiéter il avait dit. Comment ne pas m'inquiéter avec ma fille qui saignait comme un sacrifice de tabaski? Ont roulaient depuis plus d'une heure mais on était toujours pas arriver à l'hôpital de ville de Conakry. Fouta était assez éloigner de Conakry. Rama était inconsciente depuis que le CCRF de Fouta nous avait fait déférer mais respirait toujours . Je ne compte plus le nombre de fois que je m'étais évanouie entre hier nuit et ce matin. Rama avait connue une atrocité que je n'avais jamais crains parce que je ne la voyais pas victime de ça. Ma petite fille était entre la vie et la mort et n'avais pas encore eu même les premiers soins. Les médecins du CCRF n'avait pas voulue l'a toucher pour ne pas avoir de problème néanmoins avaient eu l'humanisme de nous déférer aussitôt. Je parlais d'humanisme or que c'était normale mais je savais de quoi je parlais , ces gens sensés être les derniers espoir des patients étaient pour la plupart des sans cœurs. Ils préféraient gardés les malades pour une question de sous, je savais de quoi je parlais vue que je l'avais vécu quand j'étais enceinte de Seydina.

Rama fut prise en charge aussitôt a notre arriver. Al c'était occuper de ça et je ne l'en remerciait jamais assez. Abdoul et ses frères étaient déjà sur place accompagner d'Amina et Fama. Abdoul voulue me prendre dans ses bras mais je l'esquiva. A ce moment je le haïssais tellement . Tout ça était de sa faute et je ne lui adresserai pas la parole temps que mon enfant n'étais pas déclarer hors de danger............................................................

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⏰ Dernière mise à jour : 4 days ago ⏰

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