Jake Peralta [B99]

Dispute

- Vite on est en train de la perdre !!...

- Je lui fait une piqûre...

- Ses constantes sont inquiétantes...

- Emmenez la au bloc vite...

Les informations médicales  fusent dans la salle d'opération.

Tous les médecins se pressent pour maintenir en vie le corps de la femme allonger en piteux état.

Un masque de gaz poser sur le visage, distribuant le plus d'oxygène possible.

Endormi, la femme ne bouge pas, elle réagis quelques fois lorsqu'une douleur parcours son corps.

Les chirurgiens et infirmiers qui entourent la table, manier avec précision les outils chirurgicaux permettant d'enlever les débris de balle enfoncer dans son thorax.

...

3h d'opération plus tard, la femme est allonger dans la salle de repos.

Le silence est briser par les bips réguliers de la machine à côté de son lit indiquant qu'elle aller bien et qu'elle est hors de danger.

Le produit injecter dans son corps évitant de sentir la douleur lors de l'opération se dissipe de plus en plus et une forte douleur au thorax coupe sa respiration.

Les bruit de la machine s'accélèrent, deux infirmiers entrent en courant  dans la salle pour injecter une autre dose de produit qui l'endort aussitôt.

*

Des pas et des voix lointaines. C'est tout ce j'entends. Je suis allonger sur un lit. Un bip régulier percute le son des voix qui me sont encore inconnue. Ma respiration calme. Aucune douleur.

Si

Une

Dans mon cœur

Le cauchemar que j'ai vu il y a..

Je sais pas combien de temps je suis ici. Je ne sais même pas où je suis. Malgré les bruits ambiants impossible de savoir où je me trouve.

Mes yeux s'ouvrent tous seuls et la lumière m'éblouis. Je lève ma main pour cacher mes yeux de la forte luminosité

??? : Mme Clark vous aller bien ?

Aucun son ne sort de ma bouche

??? : Ne vous inquiétez pas vous êtes en sécurités vous êtes à l'hôpital de Brooklyn.

Elle continue de me parler, je l'écoute même si je ne comprend rien. Tout ce qui traîne dans ma tête c'est la vue de tous ces corps allongées sur le sol.

___

Une semaine que je suis allonger sur le lit blanc. Chaque jour je reçois les soins nécessaires. Je ne peux toujours pas marcher.

L'infirmière ma expliquer ce que j'avais comme blessures.

J'ai reçue 3 balles. Deux dans le ventre et une dans le bras. J'ai pleins de coupures, et 3 côtes cassées

On m'a également dit que Thomas était dans cet hôpital et qu'il était hors de danger. Cependant je n'est reçue aucune visite.

___

2 semaines.

Je commence à marcher sans grandes difficultés. Sans que je comprenne Thomas refuse de me voir. Ça me perturbe mais je me rassure en me disant qu'il est encore sous le choc du désastre de l'infiltration.

Mon capitaine est passer me voir et pour m'expliquer la situation. Une grande partie du gang a était tué pendant l'intervention. L'autre petite partie est en cavale. Celui qui m'a tirer dessus à était arrêter et enfermer pour 15 ans de prison ferme.

Mes parents sont venues me voir aussi. Ils ont eu si peur. Et comme toujours ma mère a réussi à me faire une réflexion.

Maman : Je t'avais dis de ne pas faire policière mais tu ne m'a pas écouter comme d'habitude.

C'est très tendue entre ma mère et moi concernant le sujet de mon choix professionnel. Elle n'a jamais voulue que je devienne flic. Et ne l'accepte toujours pas.

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Après de longues semaines passer à l'hôpital je peux enfin sortir à condition qu'au moindre problème je revienne en urgence.

Mes plaies sont recouvertes de bandages que je dois changer tous les jours.

Thomas est sortir il y a 2 semaines mais je n'ai pas d'autres nouvelles.

Je rentre chez moi, m'allonge dans mon lit et dors pendant quelques heures.

14h30

Je me réveille et décide d'aller au commissariat pour voir tout le monde.

Le trajet est court. J'ouvre la porte et une ambiance se fait ressentir. Une ambiance de deuil. L'enterrement de nos équipiers à eu lieu il y a 3 semaines donc malheureusement je n'ai pas pu me déplacé

Malgré le deuil certaines personnes viennent me voir pour prendre de mes nouvelles. Des tapes sur les épaules, des sourires d'empathie et des condoléances font offices de bonjour.

En revanche Thomas n'est pas venu me voir. Je commence à m'inquiéter en pensant avoir fait quelque de mal malgré que je n'est rien à me reprocher. Je me dirige donc vers la salle de pause et le trouve assis à la table avec une tasse de café entre les mains.

Je rentre et m'assoie en face de lui.

Il ne lève pas les yeux, sont regards est vide et ses yeux rouges. Ça se voit qu'il a pleuré.

Johanna : Comment ça va ?

Il ne me répond pas

Johanna : Tu t'es remis de tes blessures ?

Toujours rien. Je continue d'insister.

Johanna : Pourquoi tu ne me répond pas ?

Aucune réponse, aucun haussement d'épaules. Aucune réaction à mes questions. Je me lève pour poser ma main sur son épaule quand il me rejette violemment.

Thomas : Ne me touche pas

Johanna : Je peux savoir ce qu'il t'arrive ?

Il lève la tête pour énoncer son regard noir et vide dans mes yeux.

Thomas : Tu veux savoir ce qu'il m'arrive ? J'ai perdu tous mes coéquipiers dans une infiltration à  la con et tu me demande si ça va ?

Johanna : Moi aussi je les ai perdus. J'ai perdu des amis.

Thomas : Ah ouais ? Et bah ça a pas l'air de te déranger

Johanna : Pourquoi tu dis ça ?

Thomas : Tu n'as même pas pris la peine de venir à leurs enterrements

Johanna : Mais enfin Thomas j'étais à l'hôpital je ne pouvais pas sortir. Et pour m'excuser de mon absence j'ai fais envoyer un bouquet de fleurs blanches de ma part pour tous nos équipiers.

Thomas : Et tu crois que c'est ça qui va réparer tes erreurs ??

Johanna : Mes erreurs ? Tu te fou de moi la ?

Thomas : Oui t'es erreurs ! Si tu avais tirer au bon moment comme on te l'avais demander nos coéquipiers serais peut être toujours la.

Je reste planté la. Chaque prases qu'il prononconces sont des coups de poignards dans le cœur.

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Olalala 😭
Je suis tellement désoler de mon absence mais je suis rentrée en 1ere générale et la quantité de travail est devenue énorme j'y passe mes week end entiers 😭
Je vais essayer de poster plus régulièrement.

Un chapitre encore triste mais vous inquiétez pas ça ira mieux dans les prochains...

Bonne lecture