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Le vent s’engouffre dans mes vêtements

La sombre nuit me berce en chantant

Je cois son visage parmi les étoiles

Comme s’il était à travers un voile

J’ouvre la bouche pour lui dire un mot

Lais celui qui répond n’est que l’écho

Je tends ma main en essayant de le toucher

Mais je ne rencontre que le vide désemparé

Ce manque représente une illusion

M’entrainant vers la mort et la désolation

Mais telle une flamme au milieu de la nuit

Tu es venu tu m’as vu tu m’a souris

Tu m’as redonné courage et envie de vivre

Encore une fois tu m’as fait sourire

Tu t’es approchée tu m’as pris dans tes bras

Et tu m’as amené avec toi tout là-bas

PoèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant