Hana danse dans sa cellule,
pour oublier les mots qu'on lui a retirés.
La douleur des corps perdus s'éperdu à vivre. Et Hana se meurt à respirer.
Tu as coupé la langue à Hana, toi ou un autre, alors elle agonise en silence.
Il lui manque.
Ses yeux,
ses oreilles,
ses poumons.
Il lui manque ces sens et sa respiration.
Dans cette cellule, Hana danse sur l'eau couleur sang.
Dans cette cellule, Hana pense à son amant.
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- doucereux maux
Short StoryParce que la mort n'a pas de jeux de mots et les vivants n'en ont que trop.
