Les lèvres d'Hana ne me manqueront pas.
Pas aujourd'hui, car il neige et Noël est trop loin pour m'offrir un cadeau.
Je l'entends danser sur son sang sans le voir.
Ses pieds rouges,
ses mains noirs,
ses yeux bleus.Et sa cage inventé par la vie pour la mort.
Hana est morte et Hana vit.
Dans l'âme des poètes,
dans le mornes des yeux fatigués,
Hana vit ;
Hana vit dans la mort.
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- doucereux maux
Short StoryParce que la mort n'a pas de jeux de mots et les vivants n'en ont que trop.