Lorsque la détresse a teinté tes iris d'orange, j'ai repensé à la mer engloutissant le soleil dans ses bras. Cet instant où l'eau se transforme en lave.
J'aimerais remonter le temps.
Je l'ai déjà dit, je le sais.
Lorsque j'ai vu pour la première fois le rejet s'incruster dans ton regard fluide, j'ai compris ce qu'était le regret. Cet instant où tout n'a plus aucun sens.
Cet instant déjà écoulé qu'on aimerait rattraper pour corriger.
Ça aussi, je l'ai déjà dit.
J'ai déjà dit tout ce que j'avais à dire.
A part peut-être ce que j'ai oublié avant même d'y penser, parce que malgré Temporalité qui respire en harmonie avec mon cœur au plus profond de mon être, le temps ne m'appartient pas encore.
Je ne sais pas comment faire.
Je me sens différente.
L'air que j'inspire m'est volé avant même qu'il atteigne mes poumons, je n'aime pas cette sensation.
plonger dans l'ivresse
de ce qui semble et qui n'est pas
pleurer de détresse
de ce qui semble et qui n'est pas
Je suis tout ce qui semble, et tu es ce qui n'est pas - plus.
Si tu semblais être tout ce que tu sembles et que tu n'es pas
Si j'étais tout ce que je semble et tout ce que je ne suis pas
Temporalité n'existerait pas
J'ai pris tant pour réalité,
lorsque de réalité je ne connaissais que le temps.
c'est la fin, quand la détresse vient frapper.
je crois bien que c'est la fin,
quand je ne me rappelle même plus
la couleur de notre jeunesse.
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𝖳𝖾𝗆𝗉𝗈𝗋𝖺𝗅𝗂𝗍𝖾
PoetryUne valse avec la pluie et le beau temps, un baiser avec tes sourires et tes pleurs intermittents. Comme le temps me paraissait beau quand il avait encore des rêves à me partager et des souvenirs à me donner. Telle était la malédiction De cette femm...
