Dans l'obscurité étouffante de la nuit, je me débats contre les chaînes invisibles de mon passé. Les ombres qui sont menaçantes se mélangent aux souvenirs brûlants de mon père, une figure sinistre qui m'a enseigné les règles impitoyables de notre monde sombre et violent.
Les cris déchirants résonnent dans l'air alors que le passé et le présent s'entremêlent dans un ballet sinistre. Je me retrouve à nouveau sur le point de franchir la ligne invisible qui sépare le crime de la rédemption, tandis que les visages sans visage des hommes de main de mon père me guettent dans l'ombre.
Le poids de la culpabilité m'écrase alors que je me noie dans mes propres émotions, celles- ci sont tourmentées. Ce tourbillon de peur et de désespoir reste gravé dans ma chair, une cicatrice indélébile de mon passé au sein de cet univers impitoyable.
Je me réveille en sursaut, le souffle court, mon corps tremblant de terreur alors que les images du passé continuent de tourbillonner dans mon esprit. Je repense à cette nuit maudite où la colère et la peur s'étaient emparées de moi et de mon géniteur il avait presque commis l'irréparable.
Mon père, celuis dont j'avais autrefois admiré la force et la puissance, s'était transformé en un monstre cruel, incapable de contrôler sa rage dévastatrice. Les mots acérés et les coups violents résonnent encore dans ma mémoire, me rappelant la fragilité de notre lien familial, écrasé sous le poids de la violence et de la trahison.
Je me force à respirer, à ramener mon esprit dans le présent, mais les cicatrices de cette nuit-là persistent, brûlant dans mon âme comme autant de rappels cruels de ma propre faiblesse. Je sais que je ne pourrai jamais échapper totalement à ce passé douloureux, mais peut-être, juste peut-être, en affrontant mes démons, je pourrai trouver enfin la paix que j'ai si désespérément cherchée.
Mon regard divague sur cette femme qui s'approche de moi, elle me dit vaguement quelque chose. Qui est-elle ? Elle s'approche de moi un sourire scotché au lèvre. Son sourire angélique me terrifie, celle-ci me tend une photo que je ne peux pas saisir. Ses yeux me rappellent ceux de ma mère
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Our lost soul
RomanceIl était déjà tard quand, les fleurs on fané dans ce vase plein de poussière auquel il avait pourtant fait vibrer la pièce autrefois. mais ce vide ces installer par ce nouveau départ a l'arrivée du printemps. nos yeux qui criaient d'une envie de bon...