Partie 20

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Rien que y avait une tension vraiment pas agréable.

Najib sort en bas avec Omar, ils passent bcp de temps ensemble je suis vraiment contente qu'ils s'entendent aussi bien vraiment contente.

Dans la soirée les filles veulent sortir j'accepte volontiers je m'habille etc...
Quand je sors au salon je vois Najib

Najib- tu vas ou toi ?

- je sors avec les autres

Najib- tu vas nul part moi je te dis !

Warda- tes qui pour lui dire ce qu'elle doit faire ? :)

Najib- toi ferme ta geul

Je voulais tellement rire un de ses stop mais je comprennais pas il se passait quoi

- Et toi tu vas ou?

Najib- je les accompagne

- mdr tye fada sois tu reste sois je viens avec

Najib- Wallah tu reste tu bouge pas d'ici j'ai hlef !

- Bh wallah tu reste ici avec moi t'es tout fada toi !

Il fait un sourire au coin de la bouche et il ouvre la porte au fille

Il revient au salon

- Pourquoi tu veux pas que j'aille ?

À peine il ouvre la bouche pour parler j'entends ça crie en bas au quartier, je regarde par la fenêtre. C'était une descente y aller y avais les condé (polices) les gars qui courraient.

- Oyo faut pas que les filles sortent la !!

Je vais faire la porte j'ouvre.

... - la con de toi ferme vitz la porte.

A peine j'ai ouvert la porte y a Hakim qui me rentre dedans.
Il était toute en sueur ça veux dire il a tarpin fait d'effort en courant.

Najib, je le voyais qui regardais en mode perdu

- eh frère encore en Harba ou quoi?

Hakim- Ouais la zinc j'ai selek par le 115 jusqu'au toit pr arriver ici

Toute les 5minutes il regardais par la fenêtre

- Ça fait longtemps qu'ils sont pas venue n'empêche

Hakim- la dernière fois qu'ils sont venue a l'entrée ils on été mal accueilli mais je t'avais dis quand ils vont revenir ils vont revenir intelligemment.

-Eh y a qui qui s'est fait descendre ?

Hakim- Abou haan

Abou c'est un black le bras droit de Hakim , ils ont 23 ans on a tout les trois grandi ensemble avec d'autres bien sur mais chacun à pris son chemin
Y en a qui ont quitté le quartier comme mon frère mais eu donne signe de vie, d'autres qui sont en zonz, d'autres qui ont pris le tunnel de la mort à croire que nos vies sont limitées qu'à ça.

Je fais les présentation, je regarde par la fenêtre je vois Reda qui mets dans le chemin d'un condé pour faire gagner du temps à l'autre personne qui se fessait suivre. Je regarde et je retiens bien je vais le choquer.

Bref j'ai été taper un sommeil j'étais k.o.

J'arrive au salon avec les yeux tout mort.

Hakim- Tes sah tu lui a pas fais visité la ville ?

- hein?

Hakim- va va t'habiller

Sans chercher à comprendre je fais demi tour je retourne dans ma chambre.

J'avais qu'une envie c'était de dormir. Je vais faire une douche histoire de me réveiller un peu.

Je m'habille, je vais au salon ils sont ils se battent pour rire bien sûr.

Bref je vous passe on arrive en bas je vois Reda je vais chez lui.

- viens la toi

Reda- wesssh

- le coran Reda je te vois encore une fois te mettre sur le chemin d'un condé comme la tantôt je t'éclate

Reda- Tranquille j'ai rien fais de mal

-eh je répète pas je t'ai prévenu ta race

Reda- hessol vous allez ou?

- Jsp wAllah il est où Omar

Il montre avec son doigt

Reda- va pas ça sert a rien, il est mhasseub la

J'y vais quand même, ,plus je m'approche puis je vois une silhouette qui m'est complètement inconnue ici au quartier.

Il donne le dos, je m'approche, je n'avais qu'une envie voir sa tête a ce gars je sais pas pq ..

Plus je m'approche et tout le monde se retourne sauf lui qui donne le dos.

Je dis salam, je comprends pas il s'en va j'arrive vers Omar ça tête suit le gars.

- Oh Omar

Omar- Ouais (toujours en regardant vers le type qui s'en va)

Je le laisse je calcul pas, je vais vers la voiture je vois hakim qui me regarde avec désespoir et dégoût je comprenais pas mais je me suis pas attarder.

D'un coup je me sentais pas bien, j'avais le coeur qui serrait, la tête qui tourne, je repensais au jour de l'enterrement de ma mère, à tout.

Je propose au gars d'aller entre eux qu'on se fera un truc une autre fois j me sentais pas bien.

Je donne le double de la clé qur j'avais sur le porte clé.

Et je rentre, je me change, à peine je dépose ma tête sur l'oreiller que les larmes on commencé a couler.

Je connais mes limites, c'est pour ça que j'y vais au delàOù les histoires vivent. Découvrez maintenant