La vie est parfois injuste voir même une sale garce, mais en même temps, elle t'apporte plein de chose, plein de lumière dans se monde rempli de ténèbres, de noirceur, de souffrance et de douleur. Je me souvient, la première fois que mes lumière sont apparus dans mon monde rempli de noirceur, de rancœur, de désespoir et de souffrance, leurs premiers pleurs, leurs premiers regards, leurs premiers mots et encore tant d'autres, je me suis senti revivre malgré les chaînes qui me retenais captive dans se monde sans foi ni loi. J'ai appris a me battre pour eux, j'ai encaisser bien plus de souffrance et de douleur pour eux, j'ai résisté a tant de fois pour rester debout sur mes deux jambes pour eux.
Ils sont ma force, mais aussi ma faiblesse.
Mais pour rien au monde je ne voudrais changer cela, ils ont été ma bouée de sauvetage dans cette océan où les vagues me propulsé dans les très fond de la souffrance, du désespoir et de la douleur. J'ai grandi, beaucoup trop vite, pour eux et rien qu'eux, j'ai travailler dur pour qu'ils ne connaissent pas ce que j'ai vécu, pour autant, la douleur est encore là, celle de les avoir laisser derrière moi pour leurs propres sécurité, pour leurs propres bien et pour leurs donner un avenir meilleur que le mien. Je voulais les éloigner le plus possible de cette enfer dans lequel je vie et chaque jour, je ne cesse de penser à eux, à mes merveilles, mes piliers, mes bouffer de souffle.
Debout devant cette grande maison où autrefois j'y suis venu, un soir de tempête, mes merveilles dans mes bras, tout deux emmitouflé et bien au chaud. Cette nuit, j'ai pris la plus douloureuse des décisions, qui, non seulement été pour leurs bien, mais aussi pour le mien. Quinze ans. Cela fait bien quinze ans que mes piliers et moi nous nous sommes séparés, après cette nuit de tempête où j'ai pris la plus douloureuse des décisions, celle de les abandonner, les laissant devant cette grande maison où je suis debout, dans le noir, regardant cette grande bâtisse d'un air nostalgique, repensant aux visages inquiet mais aussi émerveillé du couple qui les a trouver sur le pas de leurs portes alors qu'ils étaient en train de dîner dans leurs salle a manger.
Ce soir là, j'ai senti mon monde se brisé puis s'écrouler lorsque la porte c'est fermer derrière eux, emportant avec eux mes raisons de vivre, de rester debout dans se monde dangereux. Ensuite, lorsqu'ils sont parti à l'autre bout du monde, j'ai accepté, j'ai pris sur moi, le fait de ne plus jamais les revoir, mais j'ai eu espoir, de les revoir, chaque jour, je vient ici, espérant les voir, mais en aucun cas, le couple qui les avaient emmener avec eux ne sont revenus. Pendant quinze ans, je suis venu ici, devant cette bâtisse, chaque soir, priant qu'ils me reviennent. Avant de les laisser à ce couple, je les avais laisser une lettre leurs demandant à l'âge de dix-huit ans de leurs donner cette lettre afin qu'ils sachent que je suis là.
Soupirant, je me tourne afin de voir la personne qui est venu me voir et ne suis pas surprise de constater que la personne en question n'est autre que Alvaro, mon meilleur ami ainsi que le fils unique de l'homme qui m'a pris sous son aile lorsque j'avais sept ans et qui m'a traiter comme sa propre fille. Je me souvient de se jour-là, Alvaro est venu a moi alors que je marcher sur le trottoir, cherchant désespérément un endroit où me mettre au chaud. Il avais a l'époque dix ans, soit trois ans de plus que moi, il accompagner son père lors d'un dîner et il m'a tendu la main alors que j'avais espoir de m'en sortir. Il a été si gentil avec moi et son père encore plus, j'ai passer quelques jours avec eux avant que le père de Alvaro, Sir Angelo Milano ma confier vouloir m'adopter et Alvaro ma sauter dessus lorsque j'ai accepté.
Je sourit a mon frère, mon meilleur ami qui me sourit en retour avant de me prendre la main et de me diriger vers la voiture qui m'attendais non loin de la grande bâtisse, un dernier regard vers cette dernière où les lumières luise encore avant de m'engouffrer dans la voiture aux côtés de Alvaro qui ordonne au chauffeur de démarrer, nous éloignons de ce manoir où j'ai vue pour la dernière fois mes deux petits frères, aussi beau l'un que l'autre me fessant lâcher une petite larme qu'Alvaro essuie de son pouce alors que je lui sourit pour lui signifier que ce n'est rien et que je vais bien malgré la douleur de leurs pertes de mes deux trésor après cette nuit.
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1. FLOWER
RomancePersonne ne peu comprendre ma douleur, aussi infime soit-il, personne ne peu comprendre ni même peu imaginez ce que j'ai vécu, ce que j'ai traverser pour en arriver a cette instant. Les nombreux sacrifice que j'ai dû faire pour leurs apporter ce qu'...