𝙹𝚊𝚙𝚘𝚗, 𝟸𝟶**
Fut une période où elle était totalement perdue et dépourvue de conscience. Personne n'était là pour la guidée et recoudre les plais de son cœur frêle.
𝚂𝚎𝚒𝚓𝚞𝚗 𝙷𝚊𝚗𝚊𝚖𝚞𝚛𝚊
Au bout de quelques années, elle se rendu compte...
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Seijun
La pluie s'abat violemment contre le gravier, le vent souffle tellement fort qu'il emporte le peu de feuilles qu'il reste poser sur le sol. Ma nervosité contamine tout l'air de la voiture ce qui devient étouffant.
Le vent réussi à faire caresser les branches de Sakura complètement nue, sans aucune fleur rose qui colore nos printemps chaque année.
Mais cette douce couleur nous quitte quand l'automne s'installe et disparaît quand l'hiver arrive.
Je fou le bout de mon nez dans mon écharpe en préparant à affronter le froid glacial. Du givre recouvre les trottoirs ainsi que les fenêtres de la voitures.
— Stresse pas Jun, tu vas réussir. Fit la voix de mon grand frère, Giyutaro.
— Oui mais bon..
Il fronce les sourcils et se tourne vers moi en gardant les mains sur son volant.
— Eh c'est quoi cette tête de chien battu, tu t'es entraînée comme une malade ces derniers mois il n'y à pas de raison pour que tu échoues ! Articule-t-il.
Je baisse la tête et je m'amuse à tourner les fil de mon écharpe autour de mes doigts.
— Je préfère juste pas me sur estimer. Chuchoté-je.
Il ne dit rien et un blanc s'installa dans la voiture, des personnes de mon âges s'introduisent tous petit à petit dans l'académie d'Héro alors que moi, je reste assise sur ce siège chauffant.
— Bonne chance Jun. Dit-il.
— Merci..
Sa mains s'approche de ma chevelure pour l'ébouriffer et il m'accorde son sourire que j'aime tant. Il dégage tellement de sagesse et de douceur que je veux juste qu'il me prenne dans ses bras pendant des heures et des heures sans me lâcher une seule seconde.
Je fini par sortir de la voiture en le saluant, le véhicule démarre et il roule jusqu'à sortir de mon champ de vision.
Le changement de température se fait sentir directement, mes jambes tremblent et je rabat ma capuche sur ma tête pour empêcher le froid d'agresser mon visage.
J'inspire profondément et me tourne pour regarder l'établissement. Il est grand et luxueux. Il est totalement fait en vitre et diviser en deux bâtiments qui sont relier par un très grand couloir. De l'extérieur l'académie est très opposante. Elle me fou un peu la trouille d'un côté.
