Tempête & Âme

Chapitre 4

Cora respire. Inspire. Expire.  Doucement... calme toi... c'est bien... continue... voilà doucement... inspire... expire...

Je faisait  une crise d angoisse, la première depuis 2ans.

Pourquoi ?

Nina c'est remis aux violences phisique.

  Elles me sont tomber dessus elle et ces chien et mon couper la peau du ventre, avec un ciseau.

Pas fort.

Mais assez pour laisser tomber de fine goutte de sang qui vont pas cicatrisévite. Laïla avait été à coter de moi, elle aussi maîtrisé par les servantes de Nina . Quand elles relâchent Laïla a mes cotée, elle essaye de calmer ma crise avant toute chose.

Sa fait moins d'une mois qu'on se connais et elle m'aide déjà...

Je n'arriverai pas à lui rendre l'appareil, je ne c'est pas aidé... réconforter...

-Doucement Cora... Recopie m'a respiration... Calme toi...

Au bout de quelques minute d effort je réussi a me calmer et fond en larme dans ces bras. 

Pour une première fois à pleurer comme ça dans les bras de quelqu'un on aurait pu faire pire nan ?

Je reste blotti dans ces bras longtemps alors qu'à la base je déteste tout contact phisique. Ce câlin plein de larme doit l'étonner du fait que l'on se connaît depuis pas longtemps mais elle répond néanmoins tout de suite à mon étreinte après ce moment d'étonnement.

-Aller vien on va te soigner...

Je signe que non de la tête je ne voulais pas qu'elle voit mon ventre (mon complexe) du haut de mes 40kg et de mes 1m68 je me trouve toujours trop grosse pour faire partie de la normalitédans cette société.

Alors je me dirige vers les toilettes seul en me demandant pourquoi Nina es devenu comme ça ?

Enfin méchante, froide, violente je veut dire...

Parce qu'il y a sûrement eu un déclencheur...

Je nettoie et désinfecte mes petites  blessures et pose un pansements par dessus, tirer de mon sac à dos.

Je regarde mes bras où se pâment des cicatruse blanches, parfois encore rouge,  plus ou moin jeune.
Je rabaisse les manches de mon t-shirt malgré la forte température dehors. Puis je sors des toilettes avec un sourire faux mais qui peut passer pour vrais facilement.

C'est devenu ma spécialité avec le temps.

Cacher au autres que ça va mal.

Je veut inquiète personne.

Ni Laïla, ni ma mère, ni les prof, ni personne...

*

La journée, enfin fini je rentre chez moi et balance mon sac dans l'entrée, me déchausse comme une sauvage puis court dans ma chambre sachant qu'il n'y à personne dans la maison car ma mère es de garde à l hopitale aujourd'hui.

Je reste un moment sur mon lit à regarder le plafond.

Au bout de 10minute je me relève et regarde mon bandage plein de sang sur mon ventre.

Pourquoi je suis comme ça ?

Pourquoi elle fait ça ?

Pourquoi je suis pas comme les meufs sur les réseaux ?

Pourquoi ?

Je prend mon téléphone et commence à scroller sur TikTok.

Toutes ces filles avec un corps parfait... 

Je rêve de leurs ressembler...
Puis d'un cou mon cerveau se "déconnecte".

Je pose mon téléphone et me met à pleurer doucement sur mon lit.

Je me relève prend un lame de rasoir et recommence à me trancher la peau plus férocement.

Avec rage.

Le soulagement en pensent que  c'est la dernière goûté de sang qu'on versé...

Qu'on ne sera plus un problème pour personne...

Cette sensation de liberté...

7 entailles plus tard je suis rouler en boule sur le sol froid de ma salle de bain.

Je pleurs.

Encore.

*

23h passer je suis dans mon lit à continuer de me comparer à toute ces filles aux cheveux parfait.

Aux nez parfait.

Aux yeux parfait.

Aux corps parfait. 

A la taille parfaite.

Au poids parfait.

Aux amiS parfait.

A ces filles parfaite, plus belle que moi.

Au bout de quelque heure je finis de m'endormir et me réveillerai sûrement le lendemain avec des larmes sécher sur les joue et du sang sécher sur les bras.

Mais je m'en fous si c'est le prix à payer pour aller un petit peu mieu je le payerais.

Je suis à bout de force mentalement et physiquement.