Chapitre 1

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L'ambiance était tendue dans la grande chambre décorée de rideaux sombres et de meubles en bois massif. Catalina était assise sur le rebord de son lit, regardait fixement la fenêtre, accabler par la situation. Les voix s'élevaient résonnaient contre Les murs, accentuant son malaise.

- Je ne peux plus supporter cette vie, Itzel ! Je veux sortir et vivre comme tout les autres filles de mon âges. Pourquoi devrais-je rester enfermée et constamment protéger ?? S'écria ma sœur.

Je suis debout au centre de la pièce, les bras croisés. Essayant de garde mon calme.

-Tu crois que je n'ai pas ressenti la même chose Catalina ? Crois moi je te comprends. Mais notre réalité n'est pas celle des autres. Tu sais ce que ça signifie d'être une Garcia? On ne peux pas se permettre de vivre comme « tout le monde » ?

Catalina se leva brusquement, me faisant face puis me dis :

-Mais je ne veux plus de cet réalité ! Pourquoi devons nous tout sacrifier pour cette famille ?

-Par ce que c'est notre vie Catalina, Je sais que c'est injuste. Mais crois moi je fais sa pour te protéger. Je ne veux pas te voir blessé ou pire.

Je finis par déposer ma main sur son épaule, un geste d'affection et de compassion pour elle.
Un long silence s'installa. Catalina détourna son regard serrant les points de frustration. Je sais quel comprends au fond mais le poids de cet vie commençait à l'écraser.


Ailleurs, un peu plus tard dans la soirée...
23h45



Dans un bureau élégant d'une villa discrète, un homme d'un certain âge était assis dans un grand fauteuil en cuir. Devant lui se tenait un autre homme, imposant par sa stature. La lumière tamisée créait une ambiance intimiste, projetant des ombres sur les murs ornés de portraits anciens.
L'homme âgé observait son interlocuteur avec attention, conscient que chaque mot avait son importance. L'autre homme, imposant et vêtu d'un costume sombre bien ajusté, semblait pressé. Ses bras étaient croisés et son regard était perçant, montrant une détermination sans faille.

- Tout est en ordre? demanda l'homme âgé d'une voix calme mais autoritaire.

-Oui, l'opération sera menée comme prévu.
Aucune trace, aucun témoin.

-Bien. Pas de détails. Tu sais déjà qui doit être eliminé. Je ne veux pas de questions, juste des résultats.

-Considère-le fait. Répondit l'autre homme

Alors que l'homme quittait la pièce, le père de la mafia resta assis un moment, ses pensées tournées vers cette mystérieuse cible dont
l'identité restait inconnue de tous sauf de lui.



Garcia
Le lendemain
8h05

Itzel inspira profondément, et entra dans la chambre de sa sœur Catalina.. tentant de rassembler ses forces, puis parla d'une voix tremblante :

— Papa... il est parti, Catalina. Il est parti ce matin.

Elle ne put retenir ses larmes plus longtemps et éclata en sanglots, se jetant dans les bras de sa sœur, la serrant désespérément contre elle.

— Quoi ? Qu'est-ce que tu dis ? murmura Catalina, encore à moitié endormie, sa voix lourde de confusion.

Itzel, suffoquant entre ses pleurs, réussit à balbutier :

— Papa... il a été retrouvé pendu ce matin.

Catalina resta figée, incapable de bouger ou de répondre. Ses pensées semblaient se brouiller, comme si son esprit refusait d'accepter l'horreur de ces mots. Ses lèvres tremblèrent, et bientôt, des larmes chaudes glissèrent silencieusement sur ses joues.

- Non... non, tu mens, Itzel ! Dis-moi que c'est une blague, s'il te plaît...

Mais Itzel ne répondit pas. Un silence lourd s'installa entre elles, un silence qui en disait bien plus que des mots.







4 ans plus tard..

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 06 ⏰

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