MAFIA : « Je suis devenu ce que je pensais jamais être »

Chapitre 11

Précédemment...

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PDV : James , jet privé 23 septembre 20:56

Je suis assis sur mon siège, tapant quelques truc sur mon ordinateur. Je soupire, le trajet se fait long je me demande bien quand on est arrivé.
Je jette un rapide coup d'œil sur Samara, elle s'est endormie écouteur à ses oreilles et livres sur ses genoux, je souris d'un air moqueur en l'a voyant.

Cette fille m'intrigue trop, son insolence et son intelligence me donne envie de la découvrir. Même si des fois sa m'énerve, je n'aime pas qu'on me parle comme sa d'habitude. Mais avec elle, je prends le plaisir à jouer dans son jeu. C'est bizarre de le dire comme sa, mais j'aime bien.

Je détourne mon regard vers Jessica, elle est au bar. Me voyant la regarder elle me lance un sourire malicieux, ce que je lui rends pas. Je vous ment pas cette fille je l'aime pas, elle me colle trop alors que je la supporte pas en croyant que l'amour qu'elle a envers moi est réciproque. Totalement faux.

L'amour ne m'intéresse pas. Du moins plus, depuis la mort de mes parents. Je n'en ai plus ressenti et je fais plus confiance. Je déteste sa et pour toujours, personne changera mon point de vue. Même si je ressens peut être quelque chose envers cette personne, jamais.

Je cherche Matheo, mon seul vrai ami depuis des années. Nous nous connaissons depuis petits, quand le chef nous a recueilli dans sa Mafia...

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FLASHBACK...

J'étais à l'école en primaire, j'avais à peine 10 ans quand cela c'est produit.

Tous les élèves rangent leurs cahiers dans leurs cartables se précipitant pour sortir de l'école. Moi de mon côté je faisais sa à mon aise, je sors de la classe accompagné de ma maîtresse. Qui me raccompagne jusqu'à devant la sortie principale, tous les élèves partent rejoindre leur parents et partent chez eux.

Je ne voyais pas les miens, je me dis sûrement qu'ils sont en retard mais ce qui n'est pas de leur habitude. Un grand monsieur baraqué qui devait avoir dans la quarantaine s'approche de la maîtresse avec deux monsieur derrière lui. Je les regarde s'éloignés de moi parlant en chuchotant, la pauvre maîtresse met sa main devant sa bouche est une larme coule le long de sa joue.

Elle tourne son regard vers moi et me lance sourire qui exprime une pitié pour moi.

En voyant cela je ne comprends pas, ils reviennent vers moi. La madame s'accroupit pour se mettre à ma taille et me tient par la main avec ses deux douces mains.

Mme Walters : James... je suis vraiment désolé de te l'annoncer mais...des larmes s'échappe de ses yeux. Tes parents sont morts d'un accident. Elle me prend aussitôt dans ses bras et me serra très fort.

En entendant cela, j'ai le regard vide. Plus aucune pensée se fait dans ma tête, je suis perdu mais aucune larmes m'échappe. La seule question qui me vient en répétition :

« comment c'est possible ? »

Mes parents sont tellement fort et heureux, me dis je. Comment ils ont pu mourir si jeune ?

Madame Walters me lâcha, dépose une main sur ma joue et me souri une toute dernière fois.

Mme Walters : Ces monsieur sont gentils James, ce sont les amis de tes parents. Ils vont t'héberger chez eux et te garder. Dit elle avec un sourire au lèvre.