MAHERA
- Elle se réveil.
J'ouvre doucement les yeux et tombe sur le regard agacé du brun. Il se tourne vers son coéquipier.
- Emmène la à la voiture et vite nous sommes en retard.
Le blond se tourne vers moi et me sourit.
- Allez viens moya krasivaya (ma belle).
Je secoue la tête apeurée, lui il soupire. Il m'attrape le bras tout en me levant du siège et me porte comme une princesse. Il nous conduit jusqu'à une range rover noir aux vitres tintées.
- Où va-t-on?
Il me dépose sur le siège arrière du véhicule et m'attache sans répondre. Il monte juste devant moi côté passagers et sort son téléphone commençant à tapoter dessus. Je soupire fortement en jouant avec mes doigts. Dieu seul sait à quel point je suis stressé.
Je n'arrive toujours pas à réaliser que je me trouve dans une voiture avec... Qui sont-ils d'ailleurs?
Je ne les ai jamais vus avant et le fait qu'ils étaient présent à la fête de Kingsley laisse penser qu'ils me cherchait moi. Mais Pourquoi?
Je n'ai jamais rien fait qui puisse m'attirer des ennuis et je suis sûr de n'avoir jamais vus se genre de type me tourner au tour avant. Je lève la têt vers le blond et me décide à le questionner.
- Qui êtes vous? Et que voulez-vous?
Il soupire puis se tourne légèrement vers moi.
- Écoute ma belle tu ferais mieux de ne pas poser autant de questions quand mon ami va revenir parce qu'il risquerait de te couper la langue. Quant à ta deuxième question, nous nous ne voulons rien de toi, c'est notre patron qui veut t'avoir.
La façon d'on il prince cette phrase me répugne. M'avoir, comme si j'étais un objet sans importance. Que son bosse aille se faire foutre. Je n'appartiens à personne!
La porte du côté conducteur s'ouvre et le brun entre. Il démarre la voiture sans un mot me conduisant dans un endroit inconnu.
***
- Réveil toi...
Une secousse sur mon épaule me tire de mon sommeil.
- Hmmf
Un ricanement me parvient.
- Elle est en vie!
- Bien, porte la jusqu'aux cellules.
Mes sourcils se froncent à l'entente de cette phrase. Les cellules? Où sommes nous?
J'essaye d'ouvrir les yeux ce qui se solde par un échec. Je réessaye une seconde fois et quand je le fais je prend conscience de ce qui m'entoure.
Le blond me porte alors que nous descendons un escalier. On arrive au bout du couloir en face de plusieurs porte. Il pousse celle du milieu. Dans la pièce ce trouve un matelas en piteux état une chaise en face de celui-ci et une table.
L'homme qui me porte me dépose sur le matelas lentement.
- Voilà ma jolie, le patron passera te voir tout à l'heure.
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Sauve moi si tu peux
Romance"Je ne peux pas tomber puisque je suis déjà au fond du trou." Mahera s'est toujours trouvé trop soumise, une mère exigeante jamais satisfaite de ce qu'elle lui donne, un père très peu impliqué dans leur relation et une famille invivable. Mais, malg...