chapitre 2

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Je pris une grande inspiration pour me calmer et marchait vers une barre à la quelle je pourrais me tenir pour ne pas tomber dans se brouhaha de gens.

La foule à toujour été une de mes plus grandes angoisse. Voir et sentir tout ces gens entasser les uns sur les autre dans un espace si restreint... Ma claustrophobie n'arrange rien d'ailleurs.

J'étais heureuse d'avoir mes écouteurs et de ne pas avoir as écouter tout se bruit. Je mis le volume au maximum. Si les autre entendent, c'est tant pis pour eux même si je ne suis pas sûre qu'ils puissent entendre quoi que se soit avec le bruit qui régnait dans se bus.

Se ne fut que maintenant que je remarqua que Lana m'avait répondue tout à l'heure.

<<ça ne m'étonne pas, qui ne voudrait pas me voir voyons ? D'ailleurs, en parlant de voir, quand tu sera devant l'école, attend moi devant les portails, je te trouverais ne t'inquiète pas.>>

Je ne tarda pas à lui répondre.

<<ok super. A toute Lana.>>

<< à toute Alix.>>

J'éteins mon téléphone et regardais par la fenêtre embué. Je voyais le reflet de mes cheveux bruns tombant paresseusement jusqu'à ma taille, le reflet de mes propres yeux brun qui me fixait attentivement.

Je restais ainsi dans mes penser jusqu'à reconnaître l'école par la fenêtre. Je sortis du bus en remerciant intérieurement Lana de m'avoir envoyer des photo de l'immense bâtiment.

Il me fallut quelque minutes pour retrouver mon clame. Je respirait par grand coup pour tenter de rendre les battement de mon cœur régulier à nouveau.

Je me mits à l'endroit que Lana m'avait indiquer, près des grilles.
Elle me trouva après quelques minute et sauta à mon cou en parlant rapidement.

-"ho mon dieu, je suis trop contente ! Tu est enfin là ! Tu va te plaire ici, je te le promet !" Dit-elle en me lâchant.

Lana est une fille magnifique, grande, élancée, fine avec de bonne forme, des cheveux roux qui tombe sur ses épaules dans de légères ondulation, des yeux verts comme des émeraude et le caractère le plus doux du monde.

-"J'en suis sûre." Je change de sujet pour qu'elle ne remarque pas mon angoisse que je tentais de dissimuler. "C'est qui d'ailleurs qui est enfin devenue majeur hein ?" Dit je en lui donnant un léger coup de coude.

Même si Lana me dépasse d'au moins une tête, j'ai l'avantage d'avoir 3 mois en plus qu'elle.

-"Et oui ! Maintenant on as le même âge donc tu peut enfin arrêter de te proclamer toi même mon 'aîné'."

-"ça serait tentant mais non, j'ai toujours trois moi de plus que toi, même avec ou pas."

On se regarda puis on commença à rigoler. Mon rire fut rapidement couper par une sonnerie indiquant le début des cours.

Lana me pris la main pour me forcer à la suivre. Apparemment on commence par mathématiques. La matière que je hais le plus. Je ne comprend pas les math et je ne comprendrais jamais. C'est un fait.

En arrivant devant la salle, mon cœur se mit à battre la chamade et ma respiration devint difficile. Je me forçait à sourire pour que Lana ne se doute pas de la guerre intérieure que je menait pour ne pas partir en courant.

Tout les élèves se poussaient les uns les autres pour arriver en premier et s'installer dans le fond. Avant que l'on ne rentre, Lana s'arrêta pour me parler.

-"Alors, je te préviens à l'avance, Mr.Scott est pas vraiment quelqu'un de sympa ou patient, certains dise qu'il est méchant mais si on ne le cherche pas il est gentil. Si on veut."

Je hocha la tête puis nous entrâme dans la salle de classe bondé d'où régnait un bruit faramineux. Ma gorge se serra, la boule dans mon ventre s'alourdit et mes yeux me piquait. Je suivi quand même Lana qui nous trouve des places l'une à côté de l'autre vers le fond près de la fenêtre.

On s'assit et on attendis que le prof arrive. Ma panique ne se calme pas et je commence à croire qu'elle empire.

Puis le prof entra. Il doit faire 1m90, cheveux noir, yeux d'un bleu azur magnifique, musclé, certain petit tatouage sont légèrement visible mais pas entièrement. Il porte un pantalon de smoking avec une chemise blanche avec les manches replié sur les coudes.

Je l'observa pendant qu'il entra. Ma vision commence à se troubler à cause des larmes qui menace de couler à tout moment.

Le professeur posa ses main sur son bureau en balayant la salle du regard. Son regard se posa soudain sur moi pile au moment où une larme coula. Il ne me lâcha plus du regard avant un moment.

"Et merde..." pensais-je.

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