Birthday sex

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Fille et garçon

Je m'appelle Manon, je suis française, et je viens tout juste de traverser un océan pour arriver aux États-Unis, à Las Vegas. Je suis arrivée aujourd'hui, le jour de mes 21 ans, ce qui signifie que j'ai la majorité américaine, et je compte bien profiter ce soir, là où personne ne me connaît. Pour obtenir ce que je veux, je suis allée dans un strip club de la ville, le Larry Flynt's Huster Club.

La soirée battait son plein, et je ne faisais littéralement que de me déhancher, dans le but de me faire remarquer. Je sentais des mains, et des fesses, des bites me caresser, me frotter, et qu'est-ce que j'aimais ça. Jusqu'à ce que je sente un membre extrêmement dur contre mes fesses, et un membre extrêmement gros, je le sentais à travers nos vêtements, et il était absolument hors de question de laisser passer cette bite comme si de rien n'était. Je me retourna au bout d'un moment, à force que ma vulve me témoigne de son envie, et je vis un homme de mon âge environ, peut-être un peu plus vieux, brun, grand, aux cheveux bouclés, et métisse. Typiquement mon style, et en plus de cela, il avait un sacré paquet. Il me dit :
- Parles-tu français ?
- Oui, pourquoi ?
- Je ne parle pas très bien anglais, ceci est donc parfait de tomber sur une française, une française aussi torride que toi, tu as dû ressentir l'effet que tu me fais.
Bien sûr que oui je l'avais ressenti, mais je ne dis rien par rapport à cela.
- Comment t'appelles-tu ?
- Louis et toi ?
- Manon.
- Aimes-tu les défis Manon ?
- Toujours, que souhaites-tu ?
Il me matta littéralement, et tout en étant absorbé par ma poitrine, il me dit :
- Serais-tu vous capable de monter sur scène et de faire un strip-tease devant tout le monde ?
- Je déteste perdre, prépares toi.
Et je partis sur la scène. J'étais vêtue d'une robe noire bustier, très décolletée, moulante, avec une fente à la cuisse gauche, tellement haute, que nous pouvions savoir que le seul morceau de tissu en dessous de cette robe était mon string rouge, en dentelle transparente bien sûr.
Les stripteaseuses s'étaient décalées sur le côté de la scène, afin que l'on ne porte que de l'attention à moi, et qu'est-ce que j'aimais ça. Je me ondulais, encore et encore, jusqu'à enlever la fermeture qui maintenait ma robe. Je l'ai faite glissée très lentement, voyant les yeux de tout le public figé sur moi, mais aussi ceux de Louis. La robe finissa par tomber, je ne portais pas de soutien-gorge, mes mains tenaient mon 95D, je continuais à me onduler, et je finis par descendre aller chercher ce que je mérite, la bite de Louis.
Arrivant à côté de lui, en l'agichant, je lui dis dans l'oreille :
- Je mérite une bonne punition je pense.
Et il me porta, jusqu'à une salle prévue pour ces choses. Et je ne me fis pas prier. Je l'aida à enlever tout ses vêtements, jusqu'à son caleçon, et je vis la bite la plus bandante de toute ma vie. Elle avait besoin d'aide, immédiatement, alors je me mis à genoux, mais Louis me remetta debout et me dit :
- Je mérite une punition aussi pour être avec une salope comme toi dans cette chambre, mais n'oublions pas la tienne, et au passage, c'est un compliment de te dire que tu es une salope.
- Alors punissons nous mutuellement, et j'avais bien compris le sens de ce mot, je t'en remercie.
Nous nous sommes allongés chacun avec dans notre vision le sexe de l'autre, je n'avais qu'une envie, le mettre dans ma bouche.
- Elle est si grosse.
- Et tu m'as l'air tellement serrée pour elle.
Il ne fallait pas m'en dire plus, je posa directement ma langue sur elle, en faisant d'abord des petites rotations autour d'elle, puis autour de son gland, ce qui me fit en avaler une goutte.
- Qu'est-ce que tu es bon.
- Dans ce cas là, suces moi, jusqu'à ce que je n'en puisse plus.
Pendant qu'il me disait ça, si avait deux de ses doigts enfoncés dans ma chatte, puis les enleva, et il finit également par me goûter, en faisant des rotations, puis sans que je m'y attende, il me mit deux doigts qui faisaient des vas et viens en plus de sa langue. Le plaisir était si intense, je ne pouvais que le remercier, et la meilleure façon de le remercier était de lui faire ma spécialité. J'ouvris donc ma bouche je fis d'abord passer que le gland, et je suça, encore et encore. Nos plaisirs mutuels étaient si haut, mais le sien pas encore à son apogée, et je savais très bien comment faire. Je pris alors toute sa bite dans ma bouche, et je suçais jusqu'à ne plus en pouvoir, puis au moment où j'ai eu mon orgasme, le sien a eu lieu. Ma bouche était pleine de sperme, mais Dieu qu'il était bon.
- Ceci est la meilleure cyprine de toute ma vie.
- Et moi le meilleur sperme, cependant, tu n'es pas rentrés dans ma chatte si serrée pour une bite comme la tienne.
Aussitôt il se remit à bander.
- Exactement l'effet que je voulais te procurer.
Et c'était parti pour un deuxième round. Je le poussa sur le lit et me mit à califourchon sur lui.
- Tu te souviendras forcément de moi après cette soirée.
- Comment t'oublier ?
Nos visages se rapprochèrent une fois que nos lèvres se touchaient, nos langues tournaient dans tous les sens, puis je mis sa bite dans mon vagin. Et je commença à y aller doucement d'abord, malgré le fait que je voulais me faire défoncer littéralement. J'avais le contrôle sur lui, et qu'est-ce que j'aimais ça. Il se redressa légèrement contre le mur, afin de prendre mes deux seins dans ses mains, en les malaxant, au point que ça me fasse mal, mais je ne voulais surtout pas qu'il s'arrête, cela me faisait en même temps tant de bien.
- Ils sont si gros, je ne pouvais pas rêver mieux.
- Une bite comme la tienne mérite des seins comme les miens.
Et il prit mon sein gauche, le plus gros, en bouche, et suça mon téton. Je pouvais mourir pour la sentation que cela me procurait, et je décida de lui faire comprendre en sautant le plus fort possible sur lui. Nos respirations étaient synchro, et je pouvais entendre ses gémissements sur mon téton, qu'il continuait de sucer si fort.
- Ohhh Manon, t'es vraiment une grosse salope Manon, mais merci de l'être autant.
- J'ai bientôt fini, je le sens.
- Moi aussi, fais le plus encore plus fort.
Je m'exécuta, ne sachant même pas que c'était possible de faire plus fort, et je sentis son sperme en moi. Il avait joui, et sa jouissance a mené à la mienne.
- Elle était si serrée.
- Et toi si grosse.
- Je te souhaite de ne jamais me revoir, car je ne te laisserai en aucun cas m'éviter.
- Et je n'essayerai pas de t'éviter.
Nous remettons nos habits, et commençons à partir chacun de notre côté, puis il me dit.
- Au passage, joyeux anniversaire, j'espère que mon cadeau a été concluant.

one shot (sex)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant