one shot (sex)

Le voisin d'en face

Mon copain venait de partir. Nous avons eu une relation sexuelle, où j'ai totalement simulé. Je n'ai strictement rien senti. Bien qu'il soit le garçon le plus adorable du monde, le sexe n'était pas son fort, en deux mois de relation, je n'ai jamais eu d'orgasme, mais je ne lui ai jamais dit afin de ne pas le vexer.
Une fois parti, comme à mon habitude, j'avais ce besoin de me faire plaisir, d'avoir un réel orgasme. Et je ne voulais pas quelque chose de doux, je voulais quelque chose à la limite du douloureux, où mes jambes trembleraient de plaisir tellement elles seraient en feu.
J'étais au cinquième étage de mon appartement, il était minuit et demi. Toutes les lumières de ma rue était éteinte, je pouvais donc faire mes affaires sans le moindre souci.
J'ai commencé à peloter les seins debout dans mon salon, toujours en ayant mes sous-vêtements, mes tétons étaient très durs, et je prenais tellement de plaisir à le faire. Ma respiration commençait à s'accélérer, et ma cyprine était déjà bien présente dans ma culotte. Au moment où je voulus baisser ma culotte, je vus que la lumière dans l'appartement en face du mien, avec mon voisin en train de se branler en me voyant, la main dans le jogging. Il était beau, disons la vingtaine, et il prenait son pied à me regarder, et le fait qu'il prenne son pied en me regardant me mouillait encore plus. J'ai donc décidé de pimenter davantage les choses.
J'ai donc continué de me plotter les seins, mais je bougeais mes hanches en même temps, et au fur et à mesure, j'enlevais les bretelles de mon soutien-gorge. Je voyais qu'il s'impatientait, ce qui me mouillait encore plus. Et moi aussi je m'impacientais d'enfin donner à mon clitoris ce qu'il veut. Alors j'ai enfin dégrafer mon soutien gorge, donnant à mon voisin une vue sur ma poitrine nue, ce qui lui donnait d'autant plus de plaisir.
Je n'en pouvais plus aussi d'attendre, le voir se masturber me donnait de plus en plus envie de me faire du bien. J'ai donc enlevé très rapidement ma culotte qui était déjà trempée. Je me suis assise les jambes ouvertes face à lui, et je me suis rentrée un doigt, et de l'autre main je massais un de mes seins. Nous voir nous donner du plaisir mutuellement nous donnait davantage envie de monter au septième ciel, et d'aller d'autant plus loin. Il se masturbait de plus en plus vite, ce qui m'excitait encore plus, je me suis donc rajoutée un doigt. Je me cambrais, je m'ondulait dans tous les sens. J'étais tellement trempée que je n'avais pas besoin de lubrifiant. Cela me faisait du bien, mais pas encore assez, donc j'en mis un troisième, ce qui me faisait d'autant plus me bouger dans tous les sens, mais pour que l'orgasme arrive vraiment, j'avais besoin de voir son pénis, io n'avait rien retiré. Je l'ai regardé pour lui faire comprendre, et il l'a très bien compris. Elle était tellement grosse, j'en avais jamais vue une pareille. Maintenant je la voulais en moi, mais je savais très bien que cela était impossible, il fallait donc que je trouve un objet similaire. Ma brosse à cheveux était à ma droite, et je n'ai eu absolument aucune hésitation, elle remplacerait mes doigts. Quand je la rentris en moi, je compris que mon orgasme arriverait grâce à elle. Je faisais des vas et viens, pour l'enfoncer le plus loin dans moi. J'avais légèrement mal, mais la sensation de plaisir était tellement plus intense, que la douleur ne comptait pas. En voyant cette scène, mon voisin était en train de venir à l'orgasme, je voyais au loin à quel point il était essoufflé. Nous voir arriver au bout de nos masturbations nous donnait d'autant plus de sensations, et nous encouragait encore plus. La brosse rentrait de plus en plus loin, et je le vis éjaculer sur sa fenêtre, le voir avoir son orgasme conduisit au mien. Mes jambes tremblaient, mon souffle était coupé, et le sol était trempé. Je me releva, et j'envoya un bisou à mon voisin, et je fermis le rideau. Si seulement mon copain était capable de me faire ceci tout seul...