amour improbable

chapitre 17

Je reste sur le sable légèrement chaud à l'étang de ce qui s'est passé. Aquilo relève la tête et me regarde dans les yeux, un sourire sadique sur les lèvres.

-tu as aimé ce que peut faire ton ami ? Me taquine-t-il en allongeant sa tête sur mon ventre. Je ne peux pas répondre, j'ai honte d'avoir fait cela avec mon nouveau ami... Je me mets à sangloter. Il ce relève d'un bond pour me prendre dans ses bras.

- Qu'est ce qu'il y a ?! Me crit il angoissée.

-tu es qu'un con ! Je frappe contre son torse pour le repousser. Une fois arrivé (ce qui n'était pas chose facile) je me rhabille et cour loin de lui. Malheureusement, il court plus vite que moi. Il me soulève avec une telle facilité que j'en ai le hoquet. Il me regarde dans ses yeux froids et énervé. C'est moi qui devrait être énervé !

-tu as cru partir si facilement ? Me gronda t-il.

-lâche-moi aquilo, je ne veux plus te voir !

Il prend mon visage dans ses mains de façon à ce que mon visage soit en coupe. Il sert à si fort pour que je lâche un gémissement.

-ne dis pas ça... Ça me fait quelque chose de bizarre quand tu me dis ça... Une légère vulnérabilité ce fait entendre dans sa voix. Je soupir, pourquoi tu es si mignon? À cause de ça je perd tout moyens...

-je veux qu'on soit amis...

-on peut être ami avec des avantages.

-et si ça ne fonctionne pas ? Inquiète de perdre un ami, mes larmes coulent sur mes joues de façon incontrôlable.

-oh? Tu tiens à moi à ce point ? il hausse un sourcil.

-je tiens à tous mes amis... Même ceux que je viens de rencontrer... Arrivée à dire malgré les pleurs et les sanglots. Ses doigts essuie mes larmes et cela m'apaise.

-bien, on a qu'à essayer, et si ça fonctionne pas, on reste amis. Deal?

Je mets quelques minutes à réfléchir à peser le contre et le pour et après quelques minutes qui semblait être quelques secondes je réponds finalement :

-deal.. on se regarde tous les deux dans les yeux. Une heure de désir dans ses yeux, et de tendresse dans les miennes.

Sur ces mots, aquilo me porte jusqu'à sa voiture, en me donnant sa veste pour que je me love dedans.