CHAPITRE 1- la brume noir

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remercient à ma mère et à mes deux grandes sœurs qui m'ont encourager à réaliser mon rêve, et à mon entourage .

«peut importe ou je suis il me retrouvera toujours, dans les brumes noir et le froid de la nuit, ses yeux brillant me transperce l'âme me déchire sans que je puisse dire quoi que se soit cette façon qu'il a de respirer près de mes oreille me donne des frissons ...»

Encore un autre soir sans qu'Alan ne puisse dormir dans le calme, la pluie inondant la rue de ses battements ardents dégageait une odeur de m'étale insoutenable au yeux d'Alan. Lui qui espérait retrouver une vie un temps sois peut normale, même si il devait encore subir les jugements de ses collègues de travail lui disant d'arrêter de se faire des idées et que ça venait de son esprit, qu'il était juste parano. Le lever du soleil illuminait sa chambre en bazar plongée dans l'obscurité, à contre cœur il se lève et se prépare pour le travail comme tout les matins. La pluie avait fini de tomber et le soleil était déjà haut dans le ciel, avant de partir il regarde les infos, «encore un meurtre...» réplique-t-il avant de soupirer et s'en aller pour le travail. Il marche le long de la rue, le sol trempée par la tempête de la veille, arriver il croise Émilie un collègue qu'il connaît depuis longtemps «Bonjour, Alan!» lui lança-t-elle, il lui répond sèchement avant d'entrer et d'installer ses affaires. Il commence le service du matin comme d'habitude et une fois fini il accueil les clients, une heure est déjà passer et Alan ne fait qu'entendre parler du meurtre près de sa ville, c'est le 5eme ce mois ci, il se rend compte que tout ces meurtre son similaire les un les autres. Le tueur arrache les yeux de sa victime et lui lacère le dos, ou bien lui arrache tout les membres avant de la tuer. Quand soudainement Alan sens un souffle lourd sur ses oreilles il se retourne brusquement pour voir sortir du magasin une immense silhouette avec une courte fourrure bleue claire, une sueur froide lui vient et il titube pour se rendre au toilette pour ce laver le visage, n'ayant pas cru se qu'il avait vu il décide alors de ne plus y penser et continue sa journée comme si de rien n'était. Le soir fut venu après la pluie battante, Alan n'avait pas de parapluie comme à son habitude et restait au milieu de la route sous la violente tempête, son ami d'enfance Nathan était venu le tirer hors de cette pluie et à l'abri du bruit des voitures. «ne refait plus jamais ça!» dit Nathan inquiet et stresser «tu aurais pu te faire heurter par une voiture...» repris-t-il d'un ton plus calme, Alan ne l'écoutait qu'à moitie son attention diriger vers la fenêtre sans rideau dévoilant l'énorme pluie qui allait dehors, quand soudain la fenêtre fut couverte d'un immense silhouette ayant l'apparence d'un chat mais ce qui était bizarre c'était que ce chat sois si grand et que sa fourrure soi bleue claire comme celle de la silhouette au café, il sursaute et tombe de sa chaise tout en gardant les yeux vers la silhouette, Nathan ne comprenant pas ce qui le prenait, surpris lui demande si tout allait bien, Alan toujours sous le choc entend une voix sombre provenant de ce chat bleue «je suis venue pour toi...» dit la voix avant de se mettre à rire. Alan se réveille en sueur quand il sens une douleur lui venant de la tête, en tombant il c'est cogné contre le bout de la table en bois ce qui lui a ouvert une plaie équivalente à la taille de son oeuil, heureusement Nathan avais été très réactif et la soigner au mieux «tu te sens mieux?» demanda Nathan très inquiet

«j'ai pas connu de jours meilleur alors je ne sais pas.» répondit Alan sans même ce rendre compte que c'était déjà le matin .

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eh bien pour une premier vrais histoire 666 mots c'est déjà beaucoup! je remercie infiniment les gens qui lisent cette histoire !

IL M'A TROUVÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant